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Nous avons précédemment dit que la vie était dans la racine (à la fois dans sa force et sa nature). Le problème laissé en suspens était : si nos racines spirituelles sont mauvaises alors nous porterons de mauvais fruits… Alors voici la réponse :
Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché ? Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c’est en sa mort que nous avons été baptisés ? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de vie. En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection. Romains 6.2-5
Il est possible de changer de racine...
Je ne suis pas jardinier mais je voudrais partager quelques observations que vous avez pu aussi faire : il ne suffit pas d’arracher des feuilles, des fleurs et des tiges de mauvaises herbes (même plusieurs fois) pour les éradiquer du terrain. Il faut s’attaquer aux … RACINES. Elles seront le sujet de nos réflexions.
Heureux l’homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, qui ne s’arrête pas sur la voie des pécheurs, et qui ne s’assied pas en compagnie des moqueurs, mais qui trouve son plaisir dans la loi de l’Éternel, et qui la médite jour et nuit ! Il est comme un arbre planté près d’un courant d’eau, qui donne son fruit en sa saison, et dont le feuillage ne se flétrit point : tout ce qu’il fait lui réussit. Il n’en est pas ainsi des méchants : ils sont comme la paille que le vent dissipe....
Bonjour à tous,Dans la Bible, l'Eglise de Jésus-Christ est imagée de plusieurs manières : un corps, un troupeau...Aujourd'hui, nous nous attarderons sur la comparaison avec la vigne.Jésus a dit : Je suis le cep, vous êtes les sarments. Et chacun de nous est appelé à porter du bon fruit, et en grande quantité.Que le Seigneur vous bénisse et parle à votre coeur.
Un roi se promenait un jour dans les allées de son jardin. Avec surprise et tristesse, il s’aperçut que toutes les plantes dépérissaient.
Péniblement impressionné, il s’approcha d’un chêne qui s’élevait près de l’entrée du jardin. Quelle est donc, lui dit-il, la cause de ton dépérissement ? Ma langueur provient de ceci, c’est que ma cime ne s’élève pas droit vers le ciel, comme le sapin qui se dresse à mes côtés. Mais le sapin ne paraissait pas plus florissant. « Je suis accablé, disait-il, car je porte pas de grappes comme la vigne qui est à mes pieds ».
La vigne à son tour murmurait : « il est vrai, disait-elle, que mes sarments sont chargés de fruits. Mais ils se traînent misérablement sur le sol, tandis que le grenadier, mon voisin dresse vers le ciel ses branches verdoyantes et ses merveilleux fruits écarlates ».
D’un arbre à l’autre,...