Vivement Noël ! - Editorial
Beaucoup de monde attend Noël avec impatience, mais pas pour les mêmes raisons…
D’abord, ceux qui travaillent soupirent après ce jour de congé : pas besoin de se lever. Et puis, décompresser un peu ne fait pas de mal. En plus, il fait si froid dehors… allez hop ! Une grâce matinée au chaud sous la couette !
Puis les enfants, du moins ceux que la vie a gâtés ; Ils attendent depuis de longues semaines, et dans une grande effervescence, le moment où ils ouvrent enfin leurs cadeaux. L’excitation est telle qu’ils sont debout de bonne heure, alors que personne n’a encore mis la cafetière en marche, ni ouvert les volets ! Les parents qui se sont couchés plus tard que d’habitude émergent tant bien que mal, en rageant après leurs enfants qui n’ont décidément aucun respect pour leur repos.
Enfin, il y a ceux qui ne travaillent pas ou plus, et qui n’auront pas de cadeau à ouvrir. Pour eux, Noël est le jour le plus attendu : ils se disent que ce jour-là, quelqu’un pensera peut-être à eux. C’est aussi un jour qu’ils redoutent : C’est toujours angoissant de vivre cette fête dans la solitude ou la misère, ou bien les deux.
Non, Noël n’est pas un jour joie pour tout le monde…
A Noël, nous fêtons la naissance de Jésus, notre bien aimé Sauveur ! Oui, Et après ? Après ? C’est le 26 décembre, et la vie reprend son cours.
Comme Abraham en son temps (Jean 8.58), le chrétien doit se réjouir chaque jour de la venue de Jésus ; chaque jour, il doit annoncer et partager cette bonne nouvelle avec ceux qui croisent sa route (Luc 2.10-11).
C’est vrai que l’Eglise ne peut pas porter toute la misère du monde, et répondre à tous ses besoins. Et Dieu sait qu’ils sont nombreux. En revanche, Christ a fait de nous ses ambassadeurs (2 Corinthiens 5.20). Et pour que nous remplissions correctement cette fonction, il nous a donné un cœur nouveau (Ezéchiel 36.26) et une langue exercée (Esaïe 50.4) ; le cœur pour aimer et la langue pour parler. Faisons connaître la bonne nouvelle de Jésus Christ, l’Evangile.
Travaillons donc à ce que ce soit Noël, tous les jours… et pour tout le monde.
Joyeux Noël et bonnes fêtes de fin d’année à tous !
D’abord, ceux qui travaillent soupirent après ce jour de congé : pas besoin de se lever. Et puis, décompresser un peu ne fait pas de mal. En plus, il fait si froid dehors… allez hop ! Une grâce matinée au chaud sous la couette !
Puis les enfants, du moins ceux que la vie a gâtés ; Ils attendent depuis de longues semaines, et dans une grande effervescence, le moment où ils ouvrent enfin leurs cadeaux. L’excitation est telle qu’ils sont debout de bonne heure, alors que personne n’a encore mis la cafetière en marche, ni ouvert les volets ! Les parents qui se sont couchés plus tard que d’habitude émergent tant bien que mal, en rageant après leurs enfants qui n’ont décidément aucun respect pour leur repos.
Enfin, il y a ceux qui ne travaillent pas ou plus, et qui n’auront pas de cadeau à ouvrir. Pour eux, Noël est le jour le plus attendu : ils se disent que ce jour-là, quelqu’un pensera peut-être à eux. C’est aussi un jour qu’ils redoutent : C’est toujours angoissant de vivre cette fête dans la solitude ou la misère, ou bien les deux.
Non, Noël n’est pas un jour joie pour tout le monde…
A Noël, nous fêtons la naissance de Jésus, notre bien aimé Sauveur ! Oui, Et après ? Après ? C’est le 26 décembre, et la vie reprend son cours.
Comme Abraham en son temps (Jean 8.58), le chrétien doit se réjouir chaque jour de la venue de Jésus ; chaque jour, il doit annoncer et partager cette bonne nouvelle avec ceux qui croisent sa route (Luc 2.10-11).
C’est vrai que l’Eglise ne peut pas porter toute la misère du monde, et répondre à tous ses besoins. Et Dieu sait qu’ils sont nombreux. En revanche, Christ a fait de nous ses ambassadeurs (2 Corinthiens 5.20). Et pour que nous remplissions correctement cette fonction, il nous a donné un cœur nouveau (Ezéchiel 36.26) et une langue exercée (Esaïe 50.4) ; le cœur pour aimer et la langue pour parler. Faisons connaître la bonne nouvelle de Jésus Christ, l’Evangile.
Travaillons donc à ce que ce soit Noël, tous les jours… et pour tout le monde.
Joyeux Noël et bonnes fêtes de fin d’année à tous !