Une bonne nouvelle : les 2 otages sont libérés! - Editorial
Mais il en reste combien dans le monde ? Nous vivons vraiment une triste époque.
Prendre des innocents en otage et s’en servir comme monnaie d’échange, comme pouvoir de négociation est une méthode criminelle que rien ne peut justifier ; qu’il s’agisse de motifs de prétendue justice, ou pire encore, pour obtenir des gains ignobles et infâmes.
Seule la rançon, sous des formes différentes, lorsqu’elle est payée, permettra aux captifs de retrouver la liberté.
Ne pensez-vous pas que, malheureusement, bon nombre de nos contemporains, et peut-être vous-même, sont des otages à bien des égards : otages de la crainte, otages de la dépression, otages de la jalousie, de l’envie, de la haine, otages de la maladie, otages de la souffrance morale, otages du péché sous ses différentes formes. J’oserais dire otages du diable, l’ennemi de Dieu et des hommes, qui fait d’eux de véritables prisonniers. « C’est plus fort que moi » diront même certains!
Que penseriez-vous d’un homme de valeur qui se livrerait en échange des otages ? On admirerait certainement son courage, sa grandeur d’âme. Quant aux otages ils manifesteraient une grande reconnaissance pour leur libérateur.
Chers amis, c’est ce que Jésus-Christ a fait pour nous. La Bible dit : « Jésus-Christ homme s’est donné lui-même en rançon pour tous » (1 Tim. 2/6). Son sacrifice à la Croix fut un acte d’amour, un acte volontaire, afin de nous libérer de tout ce qui peut faire de nous des prisonniers, quelle que soit la nature de notre prison. Citant une parole de Jésus, l’évangéliste Jean a écrit : « Si le Fils (de Dieu) vous affranchit, vous serez réellement libres » (Jean 8/36), libres, réellement libres de la crainte, de l’angoisse, de la dépression, de toutes formes d’esclavage et du péché qui porte en lui le germe de la mort.
Voilà une bonne nouvelle ! C’est le message de l’Evangile : « Dieu a tellement aimé le monde, qu’Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle ». (Jean 3/16).
Prendre des innocents en otage et s’en servir comme monnaie d’échange, comme pouvoir de négociation est une méthode criminelle que rien ne peut justifier ; qu’il s’agisse de motifs de prétendue justice, ou pire encore, pour obtenir des gains ignobles et infâmes.
Seule la rançon, sous des formes différentes, lorsqu’elle est payée, permettra aux captifs de retrouver la liberté.
Ne pensez-vous pas que, malheureusement, bon nombre de nos contemporains, et peut-être vous-même, sont des otages à bien des égards : otages de la crainte, otages de la dépression, otages de la jalousie, de l’envie, de la haine, otages de la maladie, otages de la souffrance morale, otages du péché sous ses différentes formes. J’oserais dire otages du diable, l’ennemi de Dieu et des hommes, qui fait d’eux de véritables prisonniers. « C’est plus fort que moi » diront même certains!
Que penseriez-vous d’un homme de valeur qui se livrerait en échange des otages ? On admirerait certainement son courage, sa grandeur d’âme. Quant aux otages ils manifesteraient une grande reconnaissance pour leur libérateur.
Chers amis, c’est ce que Jésus-Christ a fait pour nous. La Bible dit : « Jésus-Christ homme s’est donné lui-même en rançon pour tous » (1 Tim. 2/6). Son sacrifice à la Croix fut un acte d’amour, un acte volontaire, afin de nous libérer de tout ce qui peut faire de nous des prisonniers, quelle que soit la nature de notre prison. Citant une parole de Jésus, l’évangéliste Jean a écrit : « Si le Fils (de Dieu) vous affranchit, vous serez réellement libres » (Jean 8/36), libres, réellement libres de la crainte, de l’angoisse, de la dépression, de toutes formes d’esclavage et du péché qui porte en lui le germe de la mort.
Voilà une bonne nouvelle ! C’est le message de l’Evangile : « Dieu a tellement aimé le monde, qu’Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle ». (Jean 3/16).