Sondage à 6 mois de l'élection présidentielle - Editorial
Nous sommes à 6 mois de l’élection présidentielle, chaque camp se prépare pour la dernière ligne droite, les sondages d’opinion sont publiés et commentés. Certains se voient déjà tout en haut du sommet, au palais de l’Elysée.
Mais, rien n’est encore fait, personne ne veut vendre la peau de l’ours… avant de l’avoir tuer. L’expérience faite lors de la dernière élection présidentielle est là pour nous le rappeler. Nous avions pu constater à quel point la versatilité de l’opinion est grande, la cote d’un homme ou d’une femme, peut monter très haut et quelques semaines plus tard, se retrouver au plus bas !
Le chrétien n’en est pas étonné. Il se souvient comment David, le roi bien-aimé, a connu l’inconstance de son peuple. Ce dernier qui chantait ses louanges après ses victoires sur les philistins participe à sa poursuite sous les ordres de roi Saül. Ses compagnons qui avaient fui leurs difficultés personnelles et trouvé refuge auprès de lui, parlent de le lapider au premier revers militaire (1 Samuel 30v6). Plus tard, lorsqu’il est devenu roi, son fils Absalom dérobe les cœurs des hommes d’Israël avec une facilité déconcertante (2 Samuel 15v6). Le peuple retournera au roi dès la défaite de l’usurpateur (2Samuel 19v41) pour s’en détourner à nouveau aussitôt et suivre Schéba (2Samuel 20).
Le chrétien se souvient surtout comment les foules qui criaient à Jésus : Hosanna au fils de David ! se sont rassemblaient une semaine plus tard autour de Pilate et des chefs religieux pour hurler :Crucifie, crucifie-le !
N’attribuons pas cette versatilité au seul phénomène de masse que constitue la foule. Celle-ci est composée d’individus qui réagissent, souvent sans trop réfléchir, aux moindres rumeurs, qui attachent une importance excessive aux apparences, et qui donnent leur suffrage à celui ou celle qui flatte leurs désirs profonds. Nous sommes aussi de ces individus si nous ne nous tenons pas dans la présence de Dieu.
Béni soit Dieu ! Nous avons quelqu’un à qui nous attacher sans aucune réserve et sans crainte d’être déçus : Jésus-Christ, notre Sauveur, qui a donné sa vie pour nous et qui nous a donné la vie éternelle.
Souvenons-nous que lui-même sonde nos affections profondes sans marge d’erreur ; qu’il nous trouve à 100% pour lui !
Mais, rien n’est encore fait, personne ne veut vendre la peau de l’ours… avant de l’avoir tuer. L’expérience faite lors de la dernière élection présidentielle est là pour nous le rappeler. Nous avions pu constater à quel point la versatilité de l’opinion est grande, la cote d’un homme ou d’une femme, peut monter très haut et quelques semaines plus tard, se retrouver au plus bas !
Le chrétien n’en est pas étonné. Il se souvient comment David, le roi bien-aimé, a connu l’inconstance de son peuple. Ce dernier qui chantait ses louanges après ses victoires sur les philistins participe à sa poursuite sous les ordres de roi Saül. Ses compagnons qui avaient fui leurs difficultés personnelles et trouvé refuge auprès de lui, parlent de le lapider au premier revers militaire (1 Samuel 30v6). Plus tard, lorsqu’il est devenu roi, son fils Absalom dérobe les cœurs des hommes d’Israël avec une facilité déconcertante (2 Samuel 15v6). Le peuple retournera au roi dès la défaite de l’usurpateur (2Samuel 19v41) pour s’en détourner à nouveau aussitôt et suivre Schéba (2Samuel 20).
Le chrétien se souvient surtout comment les foules qui criaient à Jésus : Hosanna au fils de David ! se sont rassemblaient une semaine plus tard autour de Pilate et des chefs religieux pour hurler :Crucifie, crucifie-le !
N’attribuons pas cette versatilité au seul phénomène de masse que constitue la foule. Celle-ci est composée d’individus qui réagissent, souvent sans trop réfléchir, aux moindres rumeurs, qui attachent une importance excessive aux apparences, et qui donnent leur suffrage à celui ou celle qui flatte leurs désirs profonds. Nous sommes aussi de ces individus si nous ne nous tenons pas dans la présence de Dieu.
Béni soit Dieu ! Nous avons quelqu’un à qui nous attacher sans aucune réserve et sans crainte d’être déçus : Jésus-Christ, notre Sauveur, qui a donné sa vie pour nous et qui nous a donné la vie éternelle.
Souvenons-nous que lui-même sonde nos affections profondes sans marge d’erreur ; qu’il nous trouve à 100% pour lui !