Romains 9 (suite n°32) - Je médite ta Parole
Remarquons encore que, dans leurs coupables agissements, "Ils irritèrent l'Eternel" (Jug. 2:11-13).
Nous risquerions-nous à irriter Celui qui s'est sacrifié pour nous sauver? Et pourtant, si nous ne veillons pas, il est possible, à cause de nos mauvaises actions que nous ne nous contrôlions plus, que nous parvenions à une telle déchéance.
Progressant encore dans la corruption, ils contractèrent des mariages avec les peuples étrangers (Jug. 3:6) et allèrent jusqu'à l'extrême dans le péché, tant leur nuque était raide (1 Rois 17:12-16). Même si nous rejetons ces fautes scandaleuses, prenons garde de ne pas verser dans l'abjection dans d'autres domaines. Des relations qui nous écartent de Dieu ou des fréquentations douteuses pourraient dans certains cas, nous conduire jusqu'à l'abomination. Gare aux pièges (Ps. 106:36).
Quand le peuple était acculé, n'ayant plus aucune possibilité de salut par ses propres moyens, alors il avouait son péché et l'Eternel était touché (Jug. 10:10-16).
Dans son amour infini pour nous, notre Père intervient en notre faveur, quand notre situation est sans issue mais devons-nous attendre d'en arriver là pour réagir? Ne serait-il pas mieux de prévenir le péché en le repoussant et de nous recommander à notre céleste Ami?
Cette corruption invétérée dans le coeur des Israélites avait de graves répercussions, comme le démontrent plusieurs textes ci-après.
Comme nous l'avons déjà souligné, l'Eternel voulait faire des Hébreux une nation à part, différente de toutes les autres, afin qu'elles le remarquent (lire à ce sujet Nomb. 23:9; Est. 3:8). Mais quand ils retournaient à leurs grossiers forfaits, ces mêmes peuples ou des anonymes se posaient des questions ou se faisaient des réflexions, ce qui obligeait l'Eternel à leur dévoiler la sombre réalité (Deut. 29:23-25; Jér. 22:9; 1 Rois 9:6-9; 2 Chron. 7:19-22).
Défigurerions-nous donc la merveilleuse vision que notre Père a de chacun de nous, par un comportement semblable à celui de nos devanciers? En tant que membres du Corps de Christ, nous sommes appelés à L'honorer ici-bas par notre attitude, par nos paroles, par nos actions..., de façon que nous soyons pour Lui un témoignage agréable, ce parfum qu'Il aime respirer (Phil. 4:10). Et s'il nous faut subir les calomnies du monde, nous nous en réjouirons, en pensant à 1 Pie. 2:12.
Comprenons bien le chagrin que nous causons à notre Bien-Aimé, toutes les fois que nous nous détournons de sa volonté, pour suivre notre voie, le tort que nous occasionnerons à son Corps et les moqueries de ceux qui nous entourent, en raison de notre comportement coupable.
Mais il y avait encore plus grave, quand c'était le peuple qui posait la question à Jehova, concernant son péché qu'il feignait ignorer (Jér. 16:10-13). Cette horrible déchéance des Hébreux nous guette aussi, si nous ne sommes pas attentifs. Emportés par notre folie, nous risquons de nous justifier, si bien que nous nous étonnerons, quand nous serons repris par Celui qui sera obligé de nous châtier pour notre bien. Qu'en ferons-nous, si telle est notre situation?
Considérons maintenant quelle est la réaction du Très-Haut, au égard aux transgressions répétées des Israélites.
Elle s'exerce sur la base d'une juste punition des fautifs. Par leurs agissements blâmables, ils ont irrité à plusieurs reprises leur Souverain (Jug. 2:12; Jér. 44:3) et provoqué sa colère qui atteindra son paroxysme dans Deut. 29:27, avec trois mots différents pour la désigner, comme dans l'original hébreu.
Des actions douloureuses contre le peuple soulignent sa détermination, face à leurs rébellions: déportations (Jug. 3:7-8; 10:6-8; 2:11-14), avec les conséquences désastreuses qui furent leur partage; malheur annoncé et sévérité extrême confirmée, en réponse à leur idolâtrie éhontée (Jér. 11:10-14) et rejet de la nation qui éprouvera une terrible séparation d'avec son Dieu (1 Rois 9:6-7; 2 Chron. 7:19-20; Jér. 16:12-13).
S'il est vrai que le Seigneur use de patience, pour que tous soient sauvés, il n'en reste pas moins vrai que chacun est responsable de ses égarements et qu'il en subira le châtiment (Jér. 30:11; 46:28) et s'il persiste dans le mal, en s'éloignant de plus en plus à Celui qui veut son bien, toutes sortes de tourments l'attendent et le mèneront vers une triste fin, s'il ne se repent pas.
Nous risquerions-nous à irriter Celui qui s'est sacrifié pour nous sauver? Et pourtant, si nous ne veillons pas, il est possible, à cause de nos mauvaises actions que nous ne nous contrôlions plus, que nous parvenions à une telle déchéance.
Progressant encore dans la corruption, ils contractèrent des mariages avec les peuples étrangers (Jug. 3:6) et allèrent jusqu'à l'extrême dans le péché, tant leur nuque était raide (1 Rois 17:12-16). Même si nous rejetons ces fautes scandaleuses, prenons garde de ne pas verser dans l'abjection dans d'autres domaines. Des relations qui nous écartent de Dieu ou des fréquentations douteuses pourraient dans certains cas, nous conduire jusqu'à l'abomination. Gare aux pièges (Ps. 106:36).
Quand le peuple était acculé, n'ayant plus aucune possibilité de salut par ses propres moyens, alors il avouait son péché et l'Eternel était touché (Jug. 10:10-16).
Dans son amour infini pour nous, notre Père intervient en notre faveur, quand notre situation est sans issue mais devons-nous attendre d'en arriver là pour réagir? Ne serait-il pas mieux de prévenir le péché en le repoussant et de nous recommander à notre céleste Ami?
Cette corruption invétérée dans le coeur des Israélites avait de graves répercussions, comme le démontrent plusieurs textes ci-après.
Comme nous l'avons déjà souligné, l'Eternel voulait faire des Hébreux une nation à part, différente de toutes les autres, afin qu'elles le remarquent (lire à ce sujet Nomb. 23:9; Est. 3:8). Mais quand ils retournaient à leurs grossiers forfaits, ces mêmes peuples ou des anonymes se posaient des questions ou se faisaient des réflexions, ce qui obligeait l'Eternel à leur dévoiler la sombre réalité (Deut. 29:23-25; Jér. 22:9; 1 Rois 9:6-9; 2 Chron. 7:19-22).
Défigurerions-nous donc la merveilleuse vision que notre Père a de chacun de nous, par un comportement semblable à celui de nos devanciers? En tant que membres du Corps de Christ, nous sommes appelés à L'honorer ici-bas par notre attitude, par nos paroles, par nos actions..., de façon que nous soyons pour Lui un témoignage agréable, ce parfum qu'Il aime respirer (Phil. 4:10). Et s'il nous faut subir les calomnies du monde, nous nous en réjouirons, en pensant à 1 Pie. 2:12.
Comprenons bien le chagrin que nous causons à notre Bien-Aimé, toutes les fois que nous nous détournons de sa volonté, pour suivre notre voie, le tort que nous occasionnerons à son Corps et les moqueries de ceux qui nous entourent, en raison de notre comportement coupable.
Mais il y avait encore plus grave, quand c'était le peuple qui posait la question à Jehova, concernant son péché qu'il feignait ignorer (Jér. 16:10-13). Cette horrible déchéance des Hébreux nous guette aussi, si nous ne sommes pas attentifs. Emportés par notre folie, nous risquons de nous justifier, si bien que nous nous étonnerons, quand nous serons repris par Celui qui sera obligé de nous châtier pour notre bien. Qu'en ferons-nous, si telle est notre situation?
Considérons maintenant quelle est la réaction du Très-Haut, au égard aux transgressions répétées des Israélites.
Elle s'exerce sur la base d'une juste punition des fautifs. Par leurs agissements blâmables, ils ont irrité à plusieurs reprises leur Souverain (Jug. 2:12; Jér. 44:3) et provoqué sa colère qui atteindra son paroxysme dans Deut. 29:27, avec trois mots différents pour la désigner, comme dans l'original hébreu.
Des actions douloureuses contre le peuple soulignent sa détermination, face à leurs rébellions: déportations (Jug. 3:7-8; 10:6-8; 2:11-14), avec les conséquences désastreuses qui furent leur partage; malheur annoncé et sévérité extrême confirmée, en réponse à leur idolâtrie éhontée (Jér. 11:10-14) et rejet de la nation qui éprouvera une terrible séparation d'avec son Dieu (1 Rois 9:6-7; 2 Chron. 7:19-20; Jér. 16:12-13).
S'il est vrai que le Seigneur use de patience, pour que tous soient sauvés, il n'en reste pas moins vrai que chacun est responsable de ses égarements et qu'il en subira le châtiment (Jér. 30:11; 46:28) et s'il persiste dans le mal, en s'éloignant de plus en plus à Celui qui veut son bien, toutes sortes de tourments l'attendent et le mèneront vers une triste fin, s'il ne se repent pas.