ROMAINS 9 (suite n°23bis) - Je médite ta Parole
Quatrième paragraphe (v. 25) : l'homme face à la loi de la grâce.
Alors que tout semble perdu, Dieu, dans sa miséricorde infinie, intervient en faveur de notre personnage et lui permet de se relever triomphant avec cette acclamation victorieuse : "Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ, notre Seigneur".
S'il faut déplorer le mauvais comportement de ceux qui se complaisent dans leur situation ambiguë et qui y persévèrent ou qui la reconnaissent et s'en glorifient (Deut. 29:l8), il y a toutefois, et cela est réjouissant, la prise de position de ceux et de celles qui, n'en pouvant plus de se débattre dans leurs problèmes, jettent un cri de détresse au Sauveur qui leur répond et les libère de leurs alarmes, et ils feront d'autres glorieuses expériences, s'ils demeurent dans ce qu'ils ont reçu et l'entretiennent.
La seconde partie de Rom. 7:25 pourrait faire croire qu'après sa rencontre bénie avec son Seigneur, notre homme est passé d'un esclavage à un autre mais non, il n'en est rien. S'il rappelle son ancien état : "et je suis par la chair esclave de la loi du péché" dont il a tant souffert, c'est pour mieux faire ressortir sa nouvelle position qui n'a aucune commune mesure avec l'ancienne. Il n'est plus sous la condamnation (8:1), et c'est en esclave affranchi qu'il sert et glorifie Celui qui s'est offert en sacrifice pour lui.
Ne resteront donc avec leur nature charnelle que ceux qui le voudront bien. Quant à ceux qui désirent sincèrement en être débarrassés, pour pénétrer dans le spirituel et se mettre volontairement à la disposition de leur Bien-Aimé, c'est possible, comme nous l'avons vu. Ainsi, même à l'extrême, comme l'a démontré notre exemple, il y a toujours espoir auprès de notre Père pour ceux qui reviennent de tout leur coeur et s'engagent résolument.
Alors que tout semble perdu, Dieu, dans sa miséricorde infinie, intervient en faveur de notre personnage et lui permet de se relever triomphant avec cette acclamation victorieuse : "Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ, notre Seigneur".
S'il faut déplorer le mauvais comportement de ceux qui se complaisent dans leur situation ambiguë et qui y persévèrent ou qui la reconnaissent et s'en glorifient (Deut. 29:l8), il y a toutefois, et cela est réjouissant, la prise de position de ceux et de celles qui, n'en pouvant plus de se débattre dans leurs problèmes, jettent un cri de détresse au Sauveur qui leur répond et les libère de leurs alarmes, et ils feront d'autres glorieuses expériences, s'ils demeurent dans ce qu'ils ont reçu et l'entretiennent.
La seconde partie de Rom. 7:25 pourrait faire croire qu'après sa rencontre bénie avec son Seigneur, notre homme est passé d'un esclavage à un autre mais non, il n'en est rien. S'il rappelle son ancien état : "et je suis par la chair esclave de la loi du péché" dont il a tant souffert, c'est pour mieux faire ressortir sa nouvelle position qui n'a aucune commune mesure avec l'ancienne. Il n'est plus sous la condamnation (8:1), et c'est en esclave affranchi qu'il sert et glorifie Celui qui s'est offert en sacrifice pour lui.
Ne resteront donc avec leur nature charnelle que ceux qui le voudront bien. Quant à ceux qui désirent sincèrement en être débarrassés, pour pénétrer dans le spirituel et se mettre volontairement à la disposition de leur Bien-Aimé, c'est possible, comme nous l'avons vu. Ainsi, même à l'extrême, comme l'a démontré notre exemple, il y a toujours espoir auprès de notre Père pour ceux qui reviennent de tout leur coeur et s'engagent résolument.