Romains 9 (suite n°15) - Je médite ta Parole
David (2 Sam. 23:5) : L'alliance de Dieu avec David, laquelle nous le rappelons ici était minutieusement réglée et bien gardée pour toute la descendance (2 Chron. 21:7). David fut aussi gratifié de cet éloge : J'ai trouvé David, fils d'Isaï, homme selon mon coeur, qui accomplira toutes mes volontés" (Act. 13:22 ; 1 Sam. 13:14).
Dans ces quelques lignes, tout est merveilleux pour David et il pourrait se contenter d'en profiter abondamment. Mais il a compris une chose : devant tant d'amour à son égard, il doit y répondre, et c'est ce qu'il va faire. Avant même d'être entré dans cette alliance, il volera au secours d'Israël, les "troupes du Dieu vivant" (1 Sam. 17:26), et affrontera Goliath avec ces paroles : "je marche contre toi au nom de l'Eternel des armées, du Dieu des troupes d'Israël" (v. 45), il le vaincra et en attribuera le triomphe à son Roi (v. 46-47). Plus tard, réalisant qu'il avait été comblé d'une belle maison de cèdre, "alors de l'arche de Dieu habite sous une toile de tente" (2 Sam. 7:2), il se proposait d'en construire une pour l'arche mais cela ne fut pas accepté (1 Chron. 28:2-3). Mais il prit vraiment à coeur de tout préparer, et même de puiser largement dans son bien personnel (1 Chron. 29:1-5 : à souligner : De plus, dans mon attachement pour la maison de Dieu, je donne à la maison de mon Dieu l'or et l'argent que je procède en propre, par-dessus tout ce que j'ai préparé pour le lieu saint).
Pour nous, la nouvelle alliance, conclue par le sang du Sauveur, "nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ" (Ep. 1:3). Face à cet amour infini de notre Bien-Aimé pour nous, il nous appartient, comme David, de rendre à notre Bienfaiteur ce que nous lui devons, et les occasions de le faire "en actions et avec vérité" (1 Jean 3:18) ne manquent pas. Mais, par souci de concision, nous nous bornerons à tirer une application des deux exemples que nous empruntons à David.
Notre Goliath, c'est le diable "qui s'est emparé des âmes pour les soumettre à sa volonté" (2 Tim. 2:26) et qui ne veut pas les lâcher. Mais nous avons deux armes efficaces : la prière et le témoignage. Ne soyons donc pas terrorisés devant l'ennemi, comme les Hébreux (1 Sam. 17:11,24), mais appliquons-nous avec assiduité à ces opérations, en notre particulier, comme en réunion avec nos frères et soeurs, et remportons des victoires.
Si nous n'avons plus de local à bâtir, nous sommes appelés à nous édifier, "pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ" (1 Pie. 2:5). Et l'assemblée que nous fréquentons, chacun pour sa part, est comprise dans cette "maison spiritue11e"; comment donc nous y comportons-nous? Que représente-t-elle pour nous, par rapport à notre domicile? Sa fréquentation est-elle l'une de nos priorités ? Y consacrons-nous du temps, en nous consacrant avec joie à son entretien, même dans les tâches les plus modestes ? Ou bien, la négligeons-nous, préférant nous affairer pour notre demeure (Agg. 1:4,9) ? Autant de questions qui peuvent nous faire réfléchir.
Comme David, efforçons-nous d'être selon le coeur de Dieu et de répondre présent à tout ce qu'Il attend de nous!
Israël (Deut. 7:8) : Comme il est touchant de lire l'attachement et l'amour de Jéhovah pour son peuple! Celui-ci réjouissait son Monarque, quand il tenait un langage spirituel à son conducteur Moise, et, en retour, le Seigneur appréciait et le lui signifiait avec promesse (Deut. 5:28-29) car Il "regarde au coeur" (1 Sam. 16:7).
Phili. 2:5 nous invite à avoir en nous "les sentiments qui étaient en Jésus-Christ", et, dans les versets précédents (1-4), il est clair qu'ils doivent se répercuter entre nous, si nous voulons que notre tendre Père trouve son plaisir au milieu des Siens. Quelle union bénie ce sera alors, si nous la recherchons sincèrement.
Dans ces quelques lignes, tout est merveilleux pour David et il pourrait se contenter d'en profiter abondamment. Mais il a compris une chose : devant tant d'amour à son égard, il doit y répondre, et c'est ce qu'il va faire. Avant même d'être entré dans cette alliance, il volera au secours d'Israël, les "troupes du Dieu vivant" (1 Sam. 17:26), et affrontera Goliath avec ces paroles : "je marche contre toi au nom de l'Eternel des armées, du Dieu des troupes d'Israël" (v. 45), il le vaincra et en attribuera le triomphe à son Roi (v. 46-47). Plus tard, réalisant qu'il avait été comblé d'une belle maison de cèdre, "alors de l'arche de Dieu habite sous une toile de tente" (2 Sam. 7:2), il se proposait d'en construire une pour l'arche mais cela ne fut pas accepté (1 Chron. 28:2-3). Mais il prit vraiment à coeur de tout préparer, et même de puiser largement dans son bien personnel (1 Chron. 29:1-5 : à souligner : De plus, dans mon attachement pour la maison de Dieu, je donne à la maison de mon Dieu l'or et l'argent que je procède en propre, par-dessus tout ce que j'ai préparé pour le lieu saint).
Pour nous, la nouvelle alliance, conclue par le sang du Sauveur, "nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes en Christ" (Ep. 1:3). Face à cet amour infini de notre Bien-Aimé pour nous, il nous appartient, comme David, de rendre à notre Bienfaiteur ce que nous lui devons, et les occasions de le faire "en actions et avec vérité" (1 Jean 3:18) ne manquent pas. Mais, par souci de concision, nous nous bornerons à tirer une application des deux exemples que nous empruntons à David.
Notre Goliath, c'est le diable "qui s'est emparé des âmes pour les soumettre à sa volonté" (2 Tim. 2:26) et qui ne veut pas les lâcher. Mais nous avons deux armes efficaces : la prière et le témoignage. Ne soyons donc pas terrorisés devant l'ennemi, comme les Hébreux (1 Sam. 17:11,24), mais appliquons-nous avec assiduité à ces opérations, en notre particulier, comme en réunion avec nos frères et soeurs, et remportons des victoires.
Si nous n'avons plus de local à bâtir, nous sommes appelés à nous édifier, "pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ" (1 Pie. 2:5). Et l'assemblée que nous fréquentons, chacun pour sa part, est comprise dans cette "maison spiritue11e"; comment donc nous y comportons-nous? Que représente-t-elle pour nous, par rapport à notre domicile? Sa fréquentation est-elle l'une de nos priorités ? Y consacrons-nous du temps, en nous consacrant avec joie à son entretien, même dans les tâches les plus modestes ? Ou bien, la négligeons-nous, préférant nous affairer pour notre demeure (Agg. 1:4,9) ? Autant de questions qui peuvent nous faire réfléchir.
Comme David, efforçons-nous d'être selon le coeur de Dieu et de répondre présent à tout ce qu'Il attend de nous!
Israël (Deut. 7:8) : Comme il est touchant de lire l'attachement et l'amour de Jéhovah pour son peuple! Celui-ci réjouissait son Monarque, quand il tenait un langage spirituel à son conducteur Moise, et, en retour, le Seigneur appréciait et le lui signifiait avec promesse (Deut. 5:28-29) car Il "regarde au coeur" (1 Sam. 16:7).
Phili. 2:5 nous invite à avoir en nous "les sentiments qui étaient en Jésus-Christ", et, dans les versets précédents (1-4), il est clair qu'ils doivent se répercuter entre nous, si nous voulons que notre tendre Père trouve son plaisir au milieu des Siens. Quelle union bénie ce sera alors, si nous la recherchons sincèrement.