"Quand un malheureux crie, l’Eternel entend" - Parole d'évangile
«Quand un malheureux crie, l’Eternel entend, et il le sauve de toutes ses détresses. » (Psaume 34/7).
Cela se passait en 1492 lors de la prise de Grenade par les rois catholiques espagnols. Le dernier roi maure de ce petit royaume, Boaldil prit le chemin de l’exil. Lorsque lui et sa famille arrivèrent sur le dernier versant de la montagne d’où l’on pouvait encore voir les tours de l’Alhambra, le roi contempla sa ville et son royaume perdus ; alors il poussa un profond soupir et des larmes coulèrent sur ses joues. Sa mère qui chevauchait à son côté, lui dit avec colère et mépris : « Tu pleures comme une femme ce que tu n’as pas su défendre comme un homme ! »
Ainsi cette mère méprisait son fils parce qu’il était un perdant. Il est vrai que le succès a beaucoup de pères, mais que l’échec est un pauvre orphelin.
Ami, vous qui lisez, vous êtes peut être aussi un perdant, un malheureux comme on en trouve beaucoup autour de nous. Votre histoire est remplie d’échecs, votre vie est comme un bateau dans la tempête, un bateau qui s’est fracassé sur les rochers des difficultés et des incompréhensions. Un bateau qui prend l’eau de toutes parts.
Sans doute dans votre désarroi, vous avez cherché du réconfort auprès de vos amis, de votre famille ; mais au lieu d’encouragements et d’aide, comme ce pauvre roi de Grenade, vous n’avez obtenu que du mépris par ceux qui vous sont les plus proches parce que vous êtes un perdant.
Ami, voici la bonne nouvelle, c’est qu’un perdant peut devenir un gagnant mieux encore un vainqueur.
Il est temps pour vous de lever les yeux plus haut au-delà des échecs et des difficultés, au-delà des amis ou de la famille ; c’est vers celui qui est le Rocher des siècles, vers Jésus qu’il faut regarder. Lui n’accable, ni ne méprise personne. Tout homme en échec qui s’adresse à Jésus trouve le réconfort et la restauration de sa vie. Dieu ne brise pas le roseau cassé, et il n’éteint pas le lumignon qui brûle encore (Esaïe 42/3) nous est-il dit dans la Bible !
Ami, recherchez Dieu car il se laisse encore trouver (Esaïe 55/6).
Dites-lui : « Seigneur, je suis dans l’angoisse, viens à mon secours ! » (Esaïe 38/14)
Jésus, pour vous sur la croix a été en angoisse, alors il peut vous comprendre. Demandez lui pardon, car il faut bien que vous le reconnaissiez, vos échecs sont bien souvent la conséquence de votre mépris de la loi de Dieu.
Cela se passait en 1492 lors de la prise de Grenade par les rois catholiques espagnols. Le dernier roi maure de ce petit royaume, Boaldil prit le chemin de l’exil. Lorsque lui et sa famille arrivèrent sur le dernier versant de la montagne d’où l’on pouvait encore voir les tours de l’Alhambra, le roi contempla sa ville et son royaume perdus ; alors il poussa un profond soupir et des larmes coulèrent sur ses joues. Sa mère qui chevauchait à son côté, lui dit avec colère et mépris : « Tu pleures comme une femme ce que tu n’as pas su défendre comme un homme ! »
Ainsi cette mère méprisait son fils parce qu’il était un perdant. Il est vrai que le succès a beaucoup de pères, mais que l’échec est un pauvre orphelin.
Ami, vous qui lisez, vous êtes peut être aussi un perdant, un malheureux comme on en trouve beaucoup autour de nous. Votre histoire est remplie d’échecs, votre vie est comme un bateau dans la tempête, un bateau qui s’est fracassé sur les rochers des difficultés et des incompréhensions. Un bateau qui prend l’eau de toutes parts.
Sans doute dans votre désarroi, vous avez cherché du réconfort auprès de vos amis, de votre famille ; mais au lieu d’encouragements et d’aide, comme ce pauvre roi de Grenade, vous n’avez obtenu que du mépris par ceux qui vous sont les plus proches parce que vous êtes un perdant.
Ami, voici la bonne nouvelle, c’est qu’un perdant peut devenir un gagnant mieux encore un vainqueur.
Il est temps pour vous de lever les yeux plus haut au-delà des échecs et des difficultés, au-delà des amis ou de la famille ; c’est vers celui qui est le Rocher des siècles, vers Jésus qu’il faut regarder. Lui n’accable, ni ne méprise personne. Tout homme en échec qui s’adresse à Jésus trouve le réconfort et la restauration de sa vie. Dieu ne brise pas le roseau cassé, et il n’éteint pas le lumignon qui brûle encore (Esaïe 42/3) nous est-il dit dans la Bible !
Ami, recherchez Dieu car il se laisse encore trouver (Esaïe 55/6).
Dites-lui : « Seigneur, je suis dans l’angoisse, viens à mon secours ! » (Esaïe 38/14)
Jésus, pour vous sur la croix a été en angoisse, alors il peut vous comprendre. Demandez lui pardon, car il faut bien que vous le reconnaissiez, vos échecs sont bien souvent la conséquence de votre mépris de la loi de Dieu.