Prie et travaille - Editorial
L’écrivain écossais Walter SCOTT faisait un jour une promenade en bateau sur un lac de sa région, lorsqu’il remarqua que le batelier se servait de deux rames portant chacune une inscription : sur l’une : PRIE et sur l’autre : TRAVAILLE.
Lorsque l’écrivain lui demanda la signification de ceci, le rameur répondit : je vais vous la montrer immédiatement, monsieur. Il se servit alors seulement de la rame où figurait la mention TRAVAILLE, et le bateau se mit à tourner sur lui-même. Puis il utilisa seulement l’autre rame avec la mention PRIE, et la barque recommença à tourner sur elle-même, dans le sens contraire. Enfin il prie les deux rames et les fit manœuvrer ensemble : la barque cessa de tourner sur elle-même et se dirigea bientôt vers le but de la promenade. Après avoir fait cette démonstration, le batelier regarda l’écrivain avec un air qui voulait dire : avez-vous compris? Ce dernier, sans attendre la question, expliqua : j’ai compris que ni la prière sans le travail, ni le travail sans la prière ne peuvent nous conduire au but que nous voulons atteindre.
Cette anecdote illustre l’une des significations d’une parole de Jacques dans son épître (2v14à17) Quel profit y a-t-il si quelqu’un dit qu’il a la foi, et qu’il n’ait pas d’œuvre… de même aussi la foi, si elle n’a pas d’œuvres, est morte par elle-même. Loin d’opposer les œuvres à la foi, cette parole montre que, dans la vie chrétienne, elles doivent aller de pair.
Par la prière et avec foi, le croyant expose à Dieu ses besoins, et en particulier celui d’être conduit par lui. Mais il nous appartient, lorsqu’on a reçu le feu vert du Seigneur, d’œuvrer, de travailler avec zèle et persévérance, d’être actif et non paresseux. Il faut aussi continuer à prier afin de recevoir l’énergie pour avancer un pas après l’autre dans la dépendance de celui qui nous a fixé le but à atteindre.
N’oublions pas la première portée de cette parole de l’épître de Jacques : il ne suffit pas de dire qu’on a la foi, il faut aussi porter du fruit qui atteste la réalité de notre vie chrétienne. Nous ne le ferons qu’en alliant la prière au dévouement actif par amour pour le Seigneur.
Lorsque l’écrivain lui demanda la signification de ceci, le rameur répondit : je vais vous la montrer immédiatement, monsieur. Il se servit alors seulement de la rame où figurait la mention TRAVAILLE, et le bateau se mit à tourner sur lui-même. Puis il utilisa seulement l’autre rame avec la mention PRIE, et la barque recommença à tourner sur elle-même, dans le sens contraire. Enfin il prie les deux rames et les fit manœuvrer ensemble : la barque cessa de tourner sur elle-même et se dirigea bientôt vers le but de la promenade. Après avoir fait cette démonstration, le batelier regarda l’écrivain avec un air qui voulait dire : avez-vous compris? Ce dernier, sans attendre la question, expliqua : j’ai compris que ni la prière sans le travail, ni le travail sans la prière ne peuvent nous conduire au but que nous voulons atteindre.
Cette anecdote illustre l’une des significations d’une parole de Jacques dans son épître (2v14à17) Quel profit y a-t-il si quelqu’un dit qu’il a la foi, et qu’il n’ait pas d’œuvre… de même aussi la foi, si elle n’a pas d’œuvres, est morte par elle-même. Loin d’opposer les œuvres à la foi, cette parole montre que, dans la vie chrétienne, elles doivent aller de pair.
Par la prière et avec foi, le croyant expose à Dieu ses besoins, et en particulier celui d’être conduit par lui. Mais il nous appartient, lorsqu’on a reçu le feu vert du Seigneur, d’œuvrer, de travailler avec zèle et persévérance, d’être actif et non paresseux. Il faut aussi continuer à prier afin de recevoir l’énergie pour avancer un pas après l’autre dans la dépendance de celui qui nous a fixé le but à atteindre.
N’oublions pas la première portée de cette parole de l’épître de Jacques : il ne suffit pas de dire qu’on a la foi, il faut aussi porter du fruit qui atteste la réalité de notre vie chrétienne. Nous ne le ferons qu’en alliant la prière au dévouement actif par amour pour le Seigneur.