Panem et circences - Editorial
Cette expression latine caractérisait, parait-il la vie de nos ancêtres les romains, celle des gaulois aussi, probablement. Elle signifie : DU PAIN ET DES JEUX !
Voici donc, les deux ingrédients principaux ou même indispensables qui servirent à nourrir et à bâtir notre société du début de notre ère. Jusqu’à quand ? Jusqu’à la fin de l’empire ? Non, jusqu’à nos jours, bien sûr !
Le pain, c’est ce qu’il faut pour ne pas mourir, tout simplement. C’est le nécessaire pour vivre, ou pour survivre : la nourriture, le vêtement, le logement, les soins. Dans la majorité des cas, c’est ce qui impose notre activité professionnelle – notre gagne-pain.
Les jeux, c’est avec le temps (l’argent) et l’énergie qui nous restent, les divertissements, les loisirs, les distractions… Le but étant de travailler le moins possible pour jouer le plus possible ! Il semble le progrès aidant, que nous sommes sur la bonne voie, bien que, les divertissements soient en général coûteux, il faille toujours travailler beaucoup pour se distraire… un peu.
Mais le problème majeur n’est pas vraiment là.
Être nourri, logé, vêtu, soigné, c’est important, mais ce n’est que le minimum vital. Et ce que l’on peut y ajouter de luxe et de loisirs, c’est le superflu. Entre la survie (le pain) et le superflu (les jeux), il manque un créneau, car ni l’un ni l’autre ne donnent un sens au mot existence.
St Augustin a écrit : Il y a dans le cœur de tout homme un vide qui a la forme de Dieu et le cœur de l’homme est inquiet, jusqu’à ce que Dieu repose en lui !
A l’heure où la France se passionne pour l’ovalie, poussant tous dans le même sens pour aplatir la balle derrière la ligne de l’en-but et oubliant pour un temps, les enjeux de la vie. Nous, nous savons qu’il y a en a un qui a payé le prix pour que nous soyons réconciliés d’avec Dieu, et que nous vivons dans sa paix en attendant son retour, c’est Jésus-Christ.
Voici donc, les deux ingrédients principaux ou même indispensables qui servirent à nourrir et à bâtir notre société du début de notre ère. Jusqu’à quand ? Jusqu’à la fin de l’empire ? Non, jusqu’à nos jours, bien sûr !
Le pain, c’est ce qu’il faut pour ne pas mourir, tout simplement. C’est le nécessaire pour vivre, ou pour survivre : la nourriture, le vêtement, le logement, les soins. Dans la majorité des cas, c’est ce qui impose notre activité professionnelle – notre gagne-pain.
Les jeux, c’est avec le temps (l’argent) et l’énergie qui nous restent, les divertissements, les loisirs, les distractions… Le but étant de travailler le moins possible pour jouer le plus possible ! Il semble le progrès aidant, que nous sommes sur la bonne voie, bien que, les divertissements soient en général coûteux, il faille toujours travailler beaucoup pour se distraire… un peu.
Mais le problème majeur n’est pas vraiment là.
Être nourri, logé, vêtu, soigné, c’est important, mais ce n’est que le minimum vital. Et ce que l’on peut y ajouter de luxe et de loisirs, c’est le superflu. Entre la survie (le pain) et le superflu (les jeux), il manque un créneau, car ni l’un ni l’autre ne donnent un sens au mot existence.
St Augustin a écrit : Il y a dans le cœur de tout homme un vide qui a la forme de Dieu et le cœur de l’homme est inquiet, jusqu’à ce que Dieu repose en lui !
A l’heure où la France se passionne pour l’ovalie, poussant tous dans le même sens pour aplatir la balle derrière la ligne de l’en-but et oubliant pour un temps, les enjeux de la vie. Nous, nous savons qu’il y a en a un qui a payé le prix pour que nous soyons réconciliés d’avec Dieu, et que nous vivons dans sa paix en attendant son retour, c’est Jésus-Christ.