Notre Dieu est vivant ! - Editorial
« Jamais on n’a appris ni entendu dire, et jamais l’œil n’a vu qu’un autre dieu que toi fît de telles choses pour ceux qui se confient en lui. » Esaïe 64.3
Notre Dieu est vivant ! Toute la parole de Dieu le clame et l’acclame comme étant le Dieu vivant et vrai. Il n’a ni commencement ni fin, ni changement, ni ombre de variation. Il demeure le même. Dans la vie du croyant, cela doit s’entendre et se voir !
Que de témoignages dans le passé nous parlent d’actions puissantes et glorieuses du Seigneur… la traversée de la mer rouge à pieds secs, la destruction de Jéricho, la gloire de Dieu dans le temple de Salomon ; encore plus beau : la venue de Jésus, sa vie sa parole et ses miracles, sa mort et sa résurrection ; encore plus beau : son ascension et sa position à la droite de Dieu, son règne et ses conséquences pour aujourd’hui (Jean 14.12), les réveils des siècles passés… Par l’Eglise, l’œuvre de Dieu devrait être amenée à son apothéose…
Que se passe-t-il ? Dieu serait-il perclus de rhumatismes et d’arthrose pour qu’il n’agisse plus ? Sa mémoire lui jouerait-elle des tours pour qu’il oublie ses promesses, et nous avec ? Dieu perdrait-il la tête jusqu’à modifier ses plans ? Dieu a-t-il changé ??? Sa parole nous démontre que Dieu fait ce qu’il dit… tout ce qu’il dit… et uniquement ce qu’il dit. Si sa parole est immuable, éternelle, droite, bonne, entièrement éprouvée, vivante, efficace, tranchante, pénétrante, certaine et entièrement digne d’être reçue, alors celui qui nous l’a laissée, Dieu, ne l’est pas moins.
Non, Dieu n’a pas changé. Ce qu’il a fait hier, il veut et peut le faire aujourd’hui : Il est toujours vivant ! Mais est-ce le cas de notre foi ?
Sommes-nous prompts à croire ce que Dieu nous dit ? Sommes-nous prompts à lui obéir, avec « l’obéissance de la foi » (Romains 1.5) ?
Ne nous voilons pas la face, peu à peu, si nous ne veillons pas, nous reprenons notre indépendance et notre vie en mains. Nous lui échappons et nos priorités sont nos propres œuvres, pas les siennes. Et c’est là un terrain sur lequel Dieu ne nous suit pas. Quand nous nous relâchons dans notre communion avec Dieu, dans la communion fraternelle, le combat spirituel, le service, quand notre confort nous fait oublier la piété et le salut des âmes, il ne faut donc pas s’étonner de ce que Dieu n’agisse pas.
Si nous voulons que ce monde entende et voit que Dieu est tout-puissant, nous savons ce qu’il nous reste à faire… alors faisons-le !
Notre Dieu est vivant ! Toute la parole de Dieu le clame et l’acclame comme étant le Dieu vivant et vrai. Il n’a ni commencement ni fin, ni changement, ni ombre de variation. Il demeure le même. Dans la vie du croyant, cela doit s’entendre et se voir !
Que de témoignages dans le passé nous parlent d’actions puissantes et glorieuses du Seigneur… la traversée de la mer rouge à pieds secs, la destruction de Jéricho, la gloire de Dieu dans le temple de Salomon ; encore plus beau : la venue de Jésus, sa vie sa parole et ses miracles, sa mort et sa résurrection ; encore plus beau : son ascension et sa position à la droite de Dieu, son règne et ses conséquences pour aujourd’hui (Jean 14.12), les réveils des siècles passés… Par l’Eglise, l’œuvre de Dieu devrait être amenée à son apothéose…
Que se passe-t-il ? Dieu serait-il perclus de rhumatismes et d’arthrose pour qu’il n’agisse plus ? Sa mémoire lui jouerait-elle des tours pour qu’il oublie ses promesses, et nous avec ? Dieu perdrait-il la tête jusqu’à modifier ses plans ? Dieu a-t-il changé ??? Sa parole nous démontre que Dieu fait ce qu’il dit… tout ce qu’il dit… et uniquement ce qu’il dit. Si sa parole est immuable, éternelle, droite, bonne, entièrement éprouvée, vivante, efficace, tranchante, pénétrante, certaine et entièrement digne d’être reçue, alors celui qui nous l’a laissée, Dieu, ne l’est pas moins.
Non, Dieu n’a pas changé. Ce qu’il a fait hier, il veut et peut le faire aujourd’hui : Il est toujours vivant ! Mais est-ce le cas de notre foi ?
Sommes-nous prompts à croire ce que Dieu nous dit ? Sommes-nous prompts à lui obéir, avec « l’obéissance de la foi » (Romains 1.5) ?
Ne nous voilons pas la face, peu à peu, si nous ne veillons pas, nous reprenons notre indépendance et notre vie en mains. Nous lui échappons et nos priorités sont nos propres œuvres, pas les siennes. Et c’est là un terrain sur lequel Dieu ne nous suit pas. Quand nous nous relâchons dans notre communion avec Dieu, dans la communion fraternelle, le combat spirituel, le service, quand notre confort nous fait oublier la piété et le salut des âmes, il ne faut donc pas s’étonner de ce que Dieu n’agisse pas.
Si nous voulons que ce monde entende et voit que Dieu est tout-puissant, nous savons ce qu’il nous reste à faire… alors faisons-le !