N’appuyez plus docteur… ! - Editorial
Quand un médecin est appelé auprès d’un malade, il commence par le questionner et l’examiner avant de lui prescrire un remède.
Pour déterminer l’origine du mal, il peut appuyer sa main sur différents endroits du corps sans que le malade réagisse tout d’abord, jusqu’au moment où le doigt est mis sur le point sensible.
Alors la douleur arrache un cri au patient : « n’appuyez plus docteur, vous me faites mal ! »
Le médecin pouvait toucher partout, sauf bien sûr, à l’endroit sensible. Est-ce que cette constatation, qui relève de l’aspect physique de la personne, ne pourrait pas être fait également sur un autre plan ? Le plan moral, par exemple. Si on évoque la décadence de notre société, la corruption qui règne à tous les niveaux, l’absence de sens moral qui laisse la porte à tous les abus, en général,tous sont d’accord pour déplorer cet état de choses. Beaucoup regrettent également l’abandon des valeurs spirituelles qui ont contribué à forger le passé de nos sociétés occidentales.
Jusque – là, de nombreuses personnes se retrouvent comme le patient qui ne se sent pas réellement concerné par la palpation du médecin : ces considération d’ordre général ne le dérangent pas plus que cela. Quand par contre, en suivant l’enseignement de la bible, on arrive à mettre le doigt sur ce qui ne va pas, sur le péché qui touche tous les êtres, alors rien ne va plus :
- Je ne suis pas plus mauvais que les autres.
- Il y a pire que moi.
- Il ne faut pas voir tout en noir !
Voilà l’endroit sensible : le refus d’une remise en question personnelle. Si le patient refuse de considérer le mal quand il est identifié, il va refuser le remède et la guérison.
Quand Dieu nous révèle l’origine de la perversion et des malheurs du genre humain, il ne nous laisse pas face à nous-mêmes et à un constat d’échec. Il nous montre le remède, le chemin du salut et d’une vie nouvelle qui passe par la repentance et la foi en Jésus-Christ, car dit la bible : La conséquence du péché, c’est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle.
Pour déterminer l’origine du mal, il peut appuyer sa main sur différents endroits du corps sans que le malade réagisse tout d’abord, jusqu’au moment où le doigt est mis sur le point sensible.
Alors la douleur arrache un cri au patient : « n’appuyez plus docteur, vous me faites mal ! »
Le médecin pouvait toucher partout, sauf bien sûr, à l’endroit sensible. Est-ce que cette constatation, qui relève de l’aspect physique de la personne, ne pourrait pas être fait également sur un autre plan ? Le plan moral, par exemple. Si on évoque la décadence de notre société, la corruption qui règne à tous les niveaux, l’absence de sens moral qui laisse la porte à tous les abus, en général,tous sont d’accord pour déplorer cet état de choses. Beaucoup regrettent également l’abandon des valeurs spirituelles qui ont contribué à forger le passé de nos sociétés occidentales.
Jusque – là, de nombreuses personnes se retrouvent comme le patient qui ne se sent pas réellement concerné par la palpation du médecin : ces considération d’ordre général ne le dérangent pas plus que cela. Quand par contre, en suivant l’enseignement de la bible, on arrive à mettre le doigt sur ce qui ne va pas, sur le péché qui touche tous les êtres, alors rien ne va plus :
- Je ne suis pas plus mauvais que les autres.
- Il y a pire que moi.
- Il ne faut pas voir tout en noir !
Voilà l’endroit sensible : le refus d’une remise en question personnelle. Si le patient refuse de considérer le mal quand il est identifié, il va refuser le remède et la guérison.
Quand Dieu nous révèle l’origine de la perversion et des malheurs du genre humain, il ne nous laisse pas face à nous-mêmes et à un constat d’échec. Il nous montre le remède, le chemin du salut et d’une vie nouvelle qui passe par la repentance et la foi en Jésus-Christ, car dit la bible : La conséquence du péché, c’est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle.