Le pain de Seigle - Anecdote
Un receveur d’impôts, un homme riche et puissant était sans pitié pour les pauvres . Il faisait chasser brutalement ceux qui mendiaient à sa porte. Pas un d’entre eux n’avait jamais reçu de lui même une aumône.
Or un jour, un mendiant dit à ses compagnons qui se chauffaient au soleil : « voulez-vous gager avec moi qu’aujourd’hui même je me ferai donner une aumône par lui ? »
Le receveur marchait accompagné d’un esclave qui portait des pains de seigle dans un panier. Le mendiant s’avançant lui demandé l’aumône. Le riche, dans sa colère, ne trouvant pas de caillou sous la main, pris un pain dans le panier, et le lança sur le mendiant. Celui-ci saisit le pain et courut montrer à ses compagnons l’aumône qu’il avait reçue.
Deux jours après, le riche tomba malade et eu une vision. Il se vit comparaître devant le grand tribunal suprême. Sur l’un des plateaux de la balance, Satan déposait ses péchés, tandis que les anges vêtus de blanc, ne trouvaient rien à mettre de l’autre coté. « En vérité, dit l’un des anges, nous n’avons rien à mettre sur ce plateau, sinon un pain de seigle qu’il a donné au Christ il y a deux jours, et encore, bien malgré lui. »
Le receveur s’éveilla, il comprit. Avant de mourir, pour réparer son avarice, il donna aux pauvres tout ce qu’il avait.
Or un jour, un mendiant dit à ses compagnons qui se chauffaient au soleil : « voulez-vous gager avec moi qu’aujourd’hui même je me ferai donner une aumône par lui ? »
Le receveur marchait accompagné d’un esclave qui portait des pains de seigle dans un panier. Le mendiant s’avançant lui demandé l’aumône. Le riche, dans sa colère, ne trouvant pas de caillou sous la main, pris un pain dans le panier, et le lança sur le mendiant. Celui-ci saisit le pain et courut montrer à ses compagnons l’aumône qu’il avait reçue.
Deux jours après, le riche tomba malade et eu une vision. Il se vit comparaître devant le grand tribunal suprême. Sur l’un des plateaux de la balance, Satan déposait ses péchés, tandis que les anges vêtus de blanc, ne trouvaient rien à mettre de l’autre coté. « En vérité, dit l’un des anges, nous n’avons rien à mettre sur ce plateau, sinon un pain de seigle qu’il a donné au Christ il y a deux jours, et encore, bien malgré lui. »
Le receveur s’éveilla, il comprit. Avant de mourir, pour réparer son avarice, il donna aux pauvres tout ce qu’il avait.