Le Christ, l’unique - Editorial
Cela s’est passé il y a plus de vingt siècles. Un tout petit enfant vient au monde, conçu d’une façon surnaturelle.
Il naît dans la pauvreté d’une famille sans fortune et dont l’ascendance prestigieuse est complètement méconnue.
A sa naissance, il effraye un roi ; dans son enfance, il surprend les théologiens les plus érudits ; adulte, il montre qu’il gouverne la nature en marchant sur les flots agités et en imposant le calme à la mer démontée.
Il ne possède ni champs de blé ni navire de pêche, mais nourrit cinq mille personnes avec une telle profusion qu’on remplit de nombreuses corbeilles avec les morceaux de pain et de poisson qui restent.
Il guérit les foules sans médicaments et ne réclame rien pour ses services.
Il n’écrit aucun livre et pourtant toutes les bibliothèques du monde ne pourraient contenir ceux qui seraient nécessaires pour raconter en détail ce qu’il a fait.
Il ne compose pas de cantiques et fournit pourtant le thème d’innombrables chants.
Il ne fonde pas d’université, mais toutes les écoles du monde réunies ne pourraient pas se targuer d’avoir autant d’étudiants que ceux qui recherchent ses enseignements.
Il ne pratique pas la psychiatrie, et guérit pourtant plus de cœurs brisés que ne l’ont fait tous les médecins.
Quand il est abandonné de Dieu, la nature, œuvre de ses mains réagit à cette douleur unique dans toute l’histoire : le soleil se cache derrière un voile de ténèbres ; et quand il meurt, la terre tremble.
Mais quoique près de deux mille années se soient écoulées depuis sa crucifixion, il vit toujours et se tient au plus haut sommet de la gloire céleste, proclamé par Dieu, reconnu par les anges, adoré par les rachetés et craint par les démons, comme le Christ vivant.
Jésus Christ est mon Sauveur et mon Seigneur, et pour toi, qu’en est-il ?
Il naît dans la pauvreté d’une famille sans fortune et dont l’ascendance prestigieuse est complètement méconnue.
A sa naissance, il effraye un roi ; dans son enfance, il surprend les théologiens les plus érudits ; adulte, il montre qu’il gouverne la nature en marchant sur les flots agités et en imposant le calme à la mer démontée.
Il ne possède ni champs de blé ni navire de pêche, mais nourrit cinq mille personnes avec une telle profusion qu’on remplit de nombreuses corbeilles avec les morceaux de pain et de poisson qui restent.
Il guérit les foules sans médicaments et ne réclame rien pour ses services.
Il n’écrit aucun livre et pourtant toutes les bibliothèques du monde ne pourraient contenir ceux qui seraient nécessaires pour raconter en détail ce qu’il a fait.
Il ne compose pas de cantiques et fournit pourtant le thème d’innombrables chants.
Il ne fonde pas d’université, mais toutes les écoles du monde réunies ne pourraient pas se targuer d’avoir autant d’étudiants que ceux qui recherchent ses enseignements.
Il ne pratique pas la psychiatrie, et guérit pourtant plus de cœurs brisés que ne l’ont fait tous les médecins.
Quand il est abandonné de Dieu, la nature, œuvre de ses mains réagit à cette douleur unique dans toute l’histoire : le soleil se cache derrière un voile de ténèbres ; et quand il meurt, la terre tremble.
Mais quoique près de deux mille années se soient écoulées depuis sa crucifixion, il vit toujours et se tient au plus haut sommet de la gloire céleste, proclamé par Dieu, reconnu par les anges, adoré par les rachetés et craint par les démons, comme le Christ vivant.
Jésus Christ est mon Sauveur et mon Seigneur, et pour toi, qu’en est-il ?