LE BAPTEME – 3ème PARTIE - Editorial
Le baptême, une question de forme : sa signification.
La parole de Dieu est formelle : la décision – mûrement réfléchie et librement prise – de se faire baptiser est consécutive à une expérience de foi en Christ, qui a bouleversé la vie d'une personne, à un point tel qu'elle n'est plus la même, comme si elle était née une deuxième fois. Et c'est bel et bien ce qui doit se passer, selon l'enseignement de Jésus (Jean 3.3). La signification du baptême montre pourquoi la forme dans laquelle il est administré – l'immersion – est si importante.
Le baptême, un témoignage :
Il est très important pour Dieu que le monde connaisse ce qui s'est passé dans le cœur de celui qui a cru et qui veut s'engager. C'est toute la raison d'être du témoignage de celui qui s'engage, par les eaux du baptême, à suivre Jésus, son Sauveur et son Maître.
Se faire baptiser n'est pas l'accomplissement d'un rite ou d'une tradition, mais un acte d'obéissance et le témoignage d'une expérience intérieure authentique.
Le baptême, un ensevelissement :
« Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c’est en sa mort que nous avons été baptisés ? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort... » (Romains 6.3-4)
Il y a un lien très fort entre le baptême et la mort de Jésus sur la Croix. La Bible nous enseigne que Jésus est mort pour les péchés du monde entier (1 Jean 2.2). D'autre part, le salaire du péché, c'est la mort (Romains 6.23), mais Jésus a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché (Hébreux 4.15). Donc, s'il est mort, c'est bien à notre place : Le châtiment qui nous donne la paix (avec Dieu) est tombé sur lui (Esaïe 53.5).
Lorsque la personne est plongée entièrement dans l'eau – image de l'ensevelissement –, c'est le témoignage extérieur et visible de ce qu'elle a accepté et cru que Jésus est mort pour elle. Par le baptême elle s'identifie à son Sauveur, mort sur la Croix. C'est le symbole de ce qu'elle est bien morte à elle-même, à sa vie passée, à cause du péché (Romains 6.11), mais qu'elle en est aussi complètement détachée... puisqu'elle est morte (Romains 6.6-7) !
Le baptême, une résurrection :
Il faut bien sortir de l'eau après y avoir été plongé ! Il y a là encore tout un symbole : « En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection... Ainsi vous-mêmes, regardez-vous comme morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Jésus–Christ.» (Romains 6.5, 11)
Christ est mort, a été mis dans un tombeau, mais en est sorti vivant trois jours après. La personne qui sort de l'eau rend le témoignage de ce qu'elle a été ensevelie avec Christ par le baptême, mais aussi ressuscitée en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu, qui l’a ressuscitée des morts (Colossiens 2.12).
Son passé est mort et enterré, et elle vit désormais en nouveauté de vie (Romains 6.4).
En sortant de l'eau, le baptisé rappelle cette promesse de l'Ecriture, dans laquelle il croit et dont il attend pour lui-même l'accomplissement : « Car le Seigneur lui–même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. » (1 Thessaloniciens 4.16. Voir aussi : 1 Corinthiens 15.20-23 ).
Le baptême, un engagement :
Le baptême est l’engagement d’une bonne conscience envers Dieu (1 Pierre 3.21). A la lecture des trois articles sur ce thème parus sur ce site, comment pourrait-il en être autrement ?
Nous avons parlé de réflexion, de décision personnelle, de conviction, de repentance, de foi etc... On ne prend pas le baptême comme on prend un bain. Car si on peu prendre un bain plusieurs fois et de plusieurs manières, la Bible nous dit qu'il n'y a qu'un seul baptême (Ephésiens 4.5), dans son fond comme dans sa forme. Il convient donc d'agir sans précipitation ni désinvolture, sans être parfaitement informé des conséquences et « obligations » qui incombent à celui qui se fait baptiser : par le baptême, il s'engage à marcher comme Christ l'entend, comme un disciple, dans la foi et l'obéissance à sa parole (Matthieu 28.19-20).
Conclusion : Qui peut prendre le baptême ?
1 – Celui qui a été convaincu de péché, qui s'en est repenti, qui a reçu par la foi en Christ le pardon de ses péchés et la vie éternelle, qui s'est converti à Jésus Christ, et qui est donc né de nouveau ; il s'agit là d'une volte face, un changement radical dans le cœur et dans la vie du candidat, une réelle conversion suite à une profonde réflexion.
2 – Celui qui a mis sa vie en règle, en conformité à tous les niveaux avec l'enseignement de la parole de Dieu ;
3 – Celui qui veut suivre Jésus de son plein gré, marcher avec lui ; en un mot devenir son disciple.
Tout autre raison avancée pour demander le baptême ne saurait remplir les exigences divines. Bible en main, le baptême ne peut donc être valide et agréé par Dieu que s'il est accordé à des personnes consentantes, parvenues à l'âge d'en saisir les tenants et aboutissants.
La parole de Dieu est formelle : la décision – mûrement réfléchie et librement prise – de se faire baptiser est consécutive à une expérience de foi en Christ, qui a bouleversé la vie d'une personne, à un point tel qu'elle n'est plus la même, comme si elle était née une deuxième fois. Et c'est bel et bien ce qui doit se passer, selon l'enseignement de Jésus (Jean 3.3). La signification du baptême montre pourquoi la forme dans laquelle il est administré – l'immersion – est si importante.
Le baptême, un témoignage :
Il est très important pour Dieu que le monde connaisse ce qui s'est passé dans le cœur de celui qui a cru et qui veut s'engager. C'est toute la raison d'être du témoignage de celui qui s'engage, par les eaux du baptême, à suivre Jésus, son Sauveur et son Maître.
Se faire baptiser n'est pas l'accomplissement d'un rite ou d'une tradition, mais un acte d'obéissance et le témoignage d'une expérience intérieure authentique.
Le baptême, un ensevelissement :
« Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c’est en sa mort que nous avons été baptisés ? Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort... » (Romains 6.3-4)
Il y a un lien très fort entre le baptême et la mort de Jésus sur la Croix. La Bible nous enseigne que Jésus est mort pour les péchés du monde entier (1 Jean 2.2). D'autre part, le salaire du péché, c'est la mort (Romains 6.23), mais Jésus a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché (Hébreux 4.15). Donc, s'il est mort, c'est bien à notre place : Le châtiment qui nous donne la paix (avec Dieu) est tombé sur lui (Esaïe 53.5).
Lorsque la personne est plongée entièrement dans l'eau – image de l'ensevelissement –, c'est le témoignage extérieur et visible de ce qu'elle a accepté et cru que Jésus est mort pour elle. Par le baptême elle s'identifie à son Sauveur, mort sur la Croix. C'est le symbole de ce qu'elle est bien morte à elle-même, à sa vie passée, à cause du péché (Romains 6.11), mais qu'elle en est aussi complètement détachée... puisqu'elle est morte (Romains 6.6-7) !
Le baptême, une résurrection :
Il faut bien sortir de l'eau après y avoir été plongé ! Il y a là encore tout un symbole : « En effet, si nous sommes devenus une même plante avec lui par la conformité à sa mort, nous le serons aussi par la conformité à sa résurrection... Ainsi vous-mêmes, regardez-vous comme morts au péché, et comme vivants pour Dieu en Jésus–Christ.» (Romains 6.5, 11)
Christ est mort, a été mis dans un tombeau, mais en est sorti vivant trois jours après. La personne qui sort de l'eau rend le témoignage de ce qu'elle a été ensevelie avec Christ par le baptême, mais aussi ressuscitée en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu, qui l’a ressuscitée des morts (Colossiens 2.12).
Son passé est mort et enterré, et elle vit désormais en nouveauté de vie (Romains 6.4).
En sortant de l'eau, le baptisé rappelle cette promesse de l'Ecriture, dans laquelle il croit et dont il attend pour lui-même l'accomplissement : « Car le Seigneur lui–même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. » (1 Thessaloniciens 4.16. Voir aussi : 1 Corinthiens 15.20-23 ).
Le baptême, un engagement :
Le baptême est l’engagement d’une bonne conscience envers Dieu (1 Pierre 3.21). A la lecture des trois articles sur ce thème parus sur ce site, comment pourrait-il en être autrement ?
Nous avons parlé de réflexion, de décision personnelle, de conviction, de repentance, de foi etc... On ne prend pas le baptême comme on prend un bain. Car si on peu prendre un bain plusieurs fois et de plusieurs manières, la Bible nous dit qu'il n'y a qu'un seul baptême (Ephésiens 4.5), dans son fond comme dans sa forme. Il convient donc d'agir sans précipitation ni désinvolture, sans être parfaitement informé des conséquences et « obligations » qui incombent à celui qui se fait baptiser : par le baptême, il s'engage à marcher comme Christ l'entend, comme un disciple, dans la foi et l'obéissance à sa parole (Matthieu 28.19-20).
Conclusion : Qui peut prendre le baptême ?
1 – Celui qui a été convaincu de péché, qui s'en est repenti, qui a reçu par la foi en Christ le pardon de ses péchés et la vie éternelle, qui s'est converti à Jésus Christ, et qui est donc né de nouveau ; il s'agit là d'une volte face, un changement radical dans le cœur et dans la vie du candidat, une réelle conversion suite à une profonde réflexion.
2 – Celui qui a mis sa vie en règle, en conformité à tous les niveaux avec l'enseignement de la parole de Dieu ;
3 – Celui qui veut suivre Jésus de son plein gré, marcher avec lui ; en un mot devenir son disciple.
Tout autre raison avancée pour demander le baptême ne saurait remplir les exigences divines. Bible en main, le baptême ne peut donc être valide et agréé par Dieu que s'il est accordé à des personnes consentantes, parvenues à l'âge d'en saisir les tenants et aboutissants.