La présomption d'innocence - Editorial
La présomption d'innocence est le principe selon lequel toute personne qui se voit reprocher une infraction est réputée innocente tant que sa culpabilité n'a pas été légalement et définitivement établie.
La plupart des pays de l'Europe démocratique reconnaissent le principe de la présomption d'innocence. Elle se fonde sur l'article 11 de la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 de l'ONU.
Explication du concept : Les droits anciens se fondaient sur la disposition contraire : l'accusé était présumé coupable jusqu'à ce qu'il ait fait la preuve de son innocence, du fait que la puissance accusatoire procède de l'autorité et que celle-ci par essence détient la vérité. Ce cas est particulièrement visible dans la situation où la source de l'autorité est dite de DROIT DIVIN.
L'expulsion du DROIT RELIGIEUX du droit civil réinstaura l'égalité de droit entre les parties en distinguant la source du droit de ceux qui sont chargés de l'appliquer et l'égalité économique de l'accusé devant les moyens illimités de l'accusation (pour accumuler des preuves y compris par des moyens de nouvelles technologies tels que les analyses ADN).
v La présomption d'innocence représente soit disant une évolution dans l'éthique du droit qui considère que mieux vaut, pour la santé de la société, un coupable en liberté qu'un innocent condamné injustement ! Mais peut-il y avoir éthique lorsque le caractère divin du droit et de la justice est mis au placard ? C'est à cause de l'imperfection de la justice humaine qui se veut tellement autonome que notre société est si malade...
L'évolution dans ce domaine ne se fait pas dans le bon sens. Même si cette disposition a été initiée par un bon sentiment, le résultat en est que ce sont les dérives de ce système qui sont le plus fortement représentées... alors que faire ?
Lorsque les hommes, décidant de se passer du soutien de Dieu, mettent sur pieds une organisation entièrement fondée sur leurs propres principes, les conséquences fâcheuses ne se font pas attendre...Nul ne peut prétendre rendre la justice de façon équitable et impartiale sans intégrer la dimension de Dieu dans son exercice. Ce principe de la présomption d'innocence ne considère pas l'AVEUX comme une preuve crédible, pourtant la Parole de Dieu déclare dans 1 Jean 1 v. 9 : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toutes iniquités. » La version Parole de Vie est encore plus explicite : « Dieu fait ce qu'il promet et il est juste. Alors SI NOUS AVOUONS NOS PECHES, il nous les pardonnera et il enlèvera tout le mal qui est en nous. »
Pour Dieu, le Créateur de tous les hommes, la présomption d'innocence n'existe pas et n'a donc aucune valeur. Dieu n'acquittera et ne relaxera jamais personne car Lui, il PARDONNE.
Dans Romains3 v. 23, il est bien dit que : « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » ; et dans le Psaume 14 v. 3 : « Tous se sont égarés, ensemble ils se sont corrompu ; il n'en est pas un qui agisse bien, PAS MËME UN SEUL. »
Le fait est que tous les hommes sont coupables et répréhensibles aux yeux de Dieu à cause de leurs nombreux péchés, et si nous voulons trouver grâce quant à ce que nous avons fait ou quant à notre passé, il nous faut croire dans le sacrifice suprême de Jésus, le Fils unique de Dieu qui a offert sa vie à la croix afin que nous puissions obtenir le pardon et la vie éternelle qui en découlent directement.
La plupart des pays de l'Europe démocratique reconnaissent le principe de la présomption d'innocence. Elle se fonde sur l'article 11 de la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948 de l'ONU.
Explication du concept : Les droits anciens se fondaient sur la disposition contraire : l'accusé était présumé coupable jusqu'à ce qu'il ait fait la preuve de son innocence, du fait que la puissance accusatoire procède de l'autorité et que celle-ci par essence détient la vérité. Ce cas est particulièrement visible dans la situation où la source de l'autorité est dite de DROIT DIVIN.
L'expulsion du DROIT RELIGIEUX du droit civil réinstaura l'égalité de droit entre les parties en distinguant la source du droit de ceux qui sont chargés de l'appliquer et l'égalité économique de l'accusé devant les moyens illimités de l'accusation (pour accumuler des preuves y compris par des moyens de nouvelles technologies tels que les analyses ADN).
v La présomption d'innocence représente soit disant une évolution dans l'éthique du droit qui considère que mieux vaut, pour la santé de la société, un coupable en liberté qu'un innocent condamné injustement ! Mais peut-il y avoir éthique lorsque le caractère divin du droit et de la justice est mis au placard ? C'est à cause de l'imperfection de la justice humaine qui se veut tellement autonome que notre société est si malade...
L'évolution dans ce domaine ne se fait pas dans le bon sens. Même si cette disposition a été initiée par un bon sentiment, le résultat en est que ce sont les dérives de ce système qui sont le plus fortement représentées... alors que faire ?
Lorsque les hommes, décidant de se passer du soutien de Dieu, mettent sur pieds une organisation entièrement fondée sur leurs propres principes, les conséquences fâcheuses ne se font pas attendre...Nul ne peut prétendre rendre la justice de façon équitable et impartiale sans intégrer la dimension de Dieu dans son exercice. Ce principe de la présomption d'innocence ne considère pas l'AVEUX comme une preuve crédible, pourtant la Parole de Dieu déclare dans 1 Jean 1 v. 9 : « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toutes iniquités. » La version Parole de Vie est encore plus explicite : « Dieu fait ce qu'il promet et il est juste. Alors SI NOUS AVOUONS NOS PECHES, il nous les pardonnera et il enlèvera tout le mal qui est en nous. »
Pour Dieu, le Créateur de tous les hommes, la présomption d'innocence n'existe pas et n'a donc aucune valeur. Dieu n'acquittera et ne relaxera jamais personne car Lui, il PARDONNE.
Dans Romains3 v. 23, il est bien dit que : « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » ; et dans le Psaume 14 v. 3 : « Tous se sont égarés, ensemble ils se sont corrompu ; il n'en est pas un qui agisse bien, PAS MËME UN SEUL. »
Le fait est que tous les hommes sont coupables et répréhensibles aux yeux de Dieu à cause de leurs nombreux péchés, et si nous voulons trouver grâce quant à ce que nous avons fait ou quant à notre passé, il nous faut croire dans le sacrifice suprême de Jésus, le Fils unique de Dieu qui a offert sa vie à la croix afin que nous puissions obtenir le pardon et la vie éternelle qui en découlent directement.