La façon de faire de Dieu - Editorial
Il y a quelques temps de cela, je suis tombé, sans me faire mal rassurez-vous, sur un texte de
La Parole qui m'a sensiblement interpelé. C'est le verset premier du Psaume messianique 110.
« Assieds-toi à ma droite jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied ».
On sait que ce texte concerne la personne de Jésus mais s'il nous a été donné dans la Bible, c'est aussi parce qu'il a une oeuvre à accomplir en nous et pour nous.
Ce verset est un commandement, un ordre qui, s'il n'a pas été observé, n'aura pas les conséquences bénies escomptées. Le verbe « asseoir » implique que nous restions tranquiles et nous verrons comment, LUI Le Seigneur, nous délivrera.
L'expression « à ma droite » démontre que nous sommes à la place d'honneur, une place de choix: c'est l'approbation de Dieu sur notre vie. A gauche les boucs, à droite les brebis.
Le groupe de mots « jusqu'à ce que » indique que nous devons être patients et persévérants dans l'attente de la bénédiction ou l'attente de l'accomplissement de la promesse. Pour nous le verbe « s'asseoir » et pour Lui le verbe « faire ». C'est notre confiance dans son action.
L'association des termes « ennemis » et « marchepied » affirme qu'ils seront humiliés de telle façon qu'ils ne seront plus supérieurs à nous-mêmes ou à notre niveau pour nous dévaloriser mais ils seront au niveau de nos pieds. Non pas que nous briguons une position de domination mais nous devons assurer notre statut d'héritiers du Roi des rois. Nous sommes dans le monde mais nous ne sommes pas du monde, notre place, elle est dans les lieux célestes, dans la présence du Père. Psaume 118 v.5 à 7: « Du sein de la détresse j'ai invoqué l'Eternel: l'Eternel m'a exaucé, m'a mis au large. L'Eternel est pour moi, je ne crains rien: que peuvent me faire des hommes? L'Eternel est mon secours et je me réjouis à la vue de mes ennemis ».
Cet autre passage confirme la façon de faire du Seigneur: nous exerçons notre foi, Il agit.
Le Père a « mille et une façons » d'agir mais toujours le même principe: la solution, la délivrance, l'exaucement ne pointent que par la FOI.
On sait que ce texte concerne la personne de Jésus mais s'il nous a été donné dans la Bible, c'est aussi parce qu'il a une oeuvre à accomplir en nous et pour nous.
Ce verset est un commandement, un ordre qui, s'il n'a pas été observé, n'aura pas les conséquences bénies escomptées. Le verbe « asseoir » implique que nous restions tranquiles et nous verrons comment, LUI Le Seigneur, nous délivrera.
L'expression « à ma droite » démontre que nous sommes à la place d'honneur, une place de choix: c'est l'approbation de Dieu sur notre vie. A gauche les boucs, à droite les brebis.
Le groupe de mots « jusqu'à ce que » indique que nous devons être patients et persévérants dans l'attente de la bénédiction ou l'attente de l'accomplissement de la promesse. Pour nous le verbe « s'asseoir » et pour Lui le verbe « faire ». C'est notre confiance dans son action.
L'association des termes « ennemis » et « marchepied » affirme qu'ils seront humiliés de telle façon qu'ils ne seront plus supérieurs à nous-mêmes ou à notre niveau pour nous dévaloriser mais ils seront au niveau de nos pieds. Non pas que nous briguons une position de domination mais nous devons assurer notre statut d'héritiers du Roi des rois. Nous sommes dans le monde mais nous ne sommes pas du monde, notre place, elle est dans les lieux célestes, dans la présence du Père. Psaume 118 v.5 à 7: « Du sein de la détresse j'ai invoqué l'Eternel: l'Eternel m'a exaucé, m'a mis au large. L'Eternel est pour moi, je ne crains rien: que peuvent me faire des hommes? L'Eternel est mon secours et je me réjouis à la vue de mes ennemis ».
Cet autre passage confirme la façon de faire du Seigneur: nous exerçons notre foi, Il agit.
Le Père a « mille et une façons » d'agir mais toujours le même principe: la solution, la délivrance, l'exaucement ne pointent que par la FOI.