«Jésus obligea les disciples» - Editorial
L’idée selon laquelle « Dieu ne force jamais personne, mais il invite » semble quelque peu mise à mal par cette déclaration de l’Ecriture. « Obliger » signifie « forcer », « contraindre », « imposer de force ». Il n’y a alors pas d’ambiguïté : Jésus peut exercer une pression sur ses disciples pour les obliger à faire telle ou telle chose.
Au fond, pourquoi n’en aurait-il pas le droit ? Il est écrit : « Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. » (Colossiens 1.16). Pour lui…
Si nous sommes nés, ce n’est pas parce que nous l’avons choisi. Christ a voulu que nous existions. Si nous sommes nés de nouveau (Jean 3.3), même si nous en avons exprimé le désir, cela n’a été « ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. » (Jean 1.12-13).
Il est à souligner que « ceux qui appartiennent à Jésus–Christ ont cloué à la croix leur vieille nature avec ses passions et ses désirs. Celui qui a pris Jésus–Christ pour maître est mort, avec lui, à ses projets et à ses plans personnels. » (Galates 5.24 Parole Vivante).
Donc, si nous agissons et servons le Seigneur, c’est « pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions. » (Ephésiens 2.10). Pour se faire ; notre volonté est sensée être soumise à la sienne.
Un rappel : Nous avons pris son joug sur nous et reçu ses instructions. Nous avons accepté de nous laisser conduire par Jésus, et de nous mettre à son école. Nous en avons retiré du repos et un épanouissement personnel (Matthieu 11.28).
Mais qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Si, selon sa promesse, son joug et doux et son fardeau léger, pourquoi deviennent-ils parfois si pesants et douloureux… Ne serions-nous pas devenus récalcitrants à la Parole et au Saint Esprit, au point de nous soustraire à l’autorité de Dieu ? Or, Dieu ne veut pas nous nous perdions. Et s’il nous oblige, c’est qu’il y a des moments où il ne peut pas faire autrement !
Conclusion : « Non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. » (Matthieu 26.39)
Au fond, pourquoi n’en aurait-il pas le droit ? Il est écrit : « Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui. » (Colossiens 1.16). Pour lui…
Si nous sommes nés, ce n’est pas parce que nous l’avons choisi. Christ a voulu que nous existions. Si nous sommes nés de nouveau (Jean 3.3), même si nous en avons exprimé le désir, cela n’a été « ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. » (Jean 1.12-13).
Il est à souligner que « ceux qui appartiennent à Jésus–Christ ont cloué à la croix leur vieille nature avec ses passions et ses désirs. Celui qui a pris Jésus–Christ pour maître est mort, avec lui, à ses projets et à ses plans personnels. » (Galates 5.24 Parole Vivante).
Donc, si nous agissons et servons le Seigneur, c’est « pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions. » (Ephésiens 2.10). Pour se faire ; notre volonté est sensée être soumise à la sienne.
Un rappel : Nous avons pris son joug sur nous et reçu ses instructions. Nous avons accepté de nous laisser conduire par Jésus, et de nous mettre à son école. Nous en avons retiré du repos et un épanouissement personnel (Matthieu 11.28).
Mais qu’en reste-t-il aujourd’hui ? Si, selon sa promesse, son joug et doux et son fardeau léger, pourquoi deviennent-ils parfois si pesants et douloureux… Ne serions-nous pas devenus récalcitrants à la Parole et au Saint Esprit, au point de nous soustraire à l’autorité de Dieu ? Or, Dieu ne veut pas nous nous perdions. Et s’il nous oblige, c’est qu’il y a des moments où il ne peut pas faire autrement !
Conclusion : « Non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. » (Matthieu 26.39)