Interview retour d'Inde avec Aurélie et Edwige - Questions-Réponses
Edwige et Aurélie sont parties en Inde au début du mois de juillet, c'est au travers de l'interview d'Edwige que vous aller voyager à plus de 10 heures de vol et ainsi connaître ce grand pays et l'œuvre chrétienne qui y est installée..
Kimshi Edwige ! Comment vas-tu après 3 semaines passées en Inde ?
Nous avons eu environ une dizaine d’heures d’avion. Et je vais bien, retour difficile cependant. A quand mon deuxième voyage là-bas ?
Quelles ont été tes impressions lorsque tu as vu les premières images de l’Inde ?
Au début j’étais très émerveillée juste parce que j’étais en Inde car les premières images étaient un aéroport typiquement européen, donc rien de très indien. Cependant rien que de me dire que je venais de poser mes pieds en Inde, c’était super.
Peux-tu nous décrire l’Inde, ses habitants, son climat, sa végétation, sa géographie, la vie là-bas...
Petit historique
L’Inde est un très grand pays d’Asie. C’est le deuxième pays le plus peuplé du monde. La capitale est New Delhi, située dans le nord de l’Inde tout en haut. c’est un pays anciennement colonisé par les anglais et qui a obtenu son indépendance le 15 août 1947, avec la participation de Gandhi, que les indiens affectionnent beaucoup. Il est présent dans les journaux, les statues, des rues, des édifices qui lui sont consacrés.
Les langues
La langue officielle est l’hindi mais j’ai pu remarquer que peu de gens dans le sud le parle mais ils le comprennent. L’anglais tient une place très importante car il permet de communiquer les uns avec les autres et surtout pour les affaires, le commerce...
Cependant chaque état dispose de son langage. Il y a 21 autres langues en Inde. J’ai pu en apprendre que 3 : le tamil qui est parlé dans l’état du Tamil Nadu c’est dans le sud de l’Inde.
Le kannada qui est parlé dans l’état du Karnataka où se situe Bangalore.
Le télougou qui est parlé dans l’état du Andhra Pardesh où se situe Hyderabad.
Nous sommes donc allées dans ces trois états.
La monnaie
La monnaie est le roupie, 1 euro c’est environ 60 roupies.
La religion
La religion principale est l’hindouisme, on a vu beaucoup de temples hindous, mais les musulmans sont aussi très présents. On a vu beaucoup de femmes voilées et les mosquées se construisent de plus en plus.
Le climat
Dans le sud de l’Inde, le climat est tropical donc il fait chaud cependant nous sommes arrivées en pleine période de moussons donc il faisait bon et limite froid les derniers jours avant le départ.
La végétation
Au niveau de la végétation c’est très varié, quand on change d’état on change de paysage. Dans les terres c’est montagneux, vallonné, c’est vert avec beaucoup de rizières. Le littoral est joli avec l’océan indien, plages de sable fin, une mer très puissante j’ai failli me faire emporter par les vagues. Peu d’indiens savent nager car il n’y a que peu de piscines et la mer est trop dangereuse pour y faire des longueurs.
Les habitants
La vie là-bas, les indiens sont des amours ils vivent cool, mais ils sont très travailleurs surtout les femmes.
Peux-tu nous expliquer quels ont été vos projets, vos buts pendant votre séjour en Inde.
Nous avons visité 12 homes d’enfants. Nous avons apporté des chants en anglais et en français par exemple « lis ta Bible prie chaque jour ». Ils nous ont chanté leurs chants dans leur langue. Nous leur avons distribué des cadeaux donc tous les stylos que l’on a reçu de l’église, on leur a donné des cahiers pour écrire et pour dessiner, des feutres et crayons de couleurs, des bananes, des gâteaux et des bonbons. Les bonbons c’est universel, tous les enfants aiment quelque soit leur nationalité.
J’ai beaucoup joué avec eux, je leur ai appris des jeux français comme 1, 2, 3, soleil que j’ai transformé en one, two, three, stop. Le béret, le facteur version simplifiée, dans ma maison sous terre pour les petites filles. C’est super drôle de les entendre chanter en français. Il y a des sons qu’ils n’arrivent pas à prononcer comme le U. Ils m’ont appris leurs jeux qu’ils appellent Cabadi, c’est amusant mais compliqué on a mis longtemps à comprendre. Maintenant c’est bon je suis une experte je peux enseigner ce jeux à qui le veux.
Qui est le pasteur qui s’occupe de ces missions ?
Sur place c’est le pasteur Solomon. Il n’y a pas de missionnaire autre qu’indien dans cette mission indienne.
En France c’est Mr Pelletier qui s’en occupe au travers du parrainage des enfants, de financer la construction d’un home. Il y a également Mr Paul Lecoseque qui succède à son père Clément, et certains homes sont financés par des chrétiens allemands également.
Peux-tu nous parler de nos frères et sœurs en Inde ?
Dans le sud de l’Inde en particulier dans les grandes villes les chrétiens ne sont pas du tout persécutés, on voit écrit « Jésus », « Jésus sauve », partout sur les voitures et les rikcho (=entre la voiture et la moto). Il y a beaucoup d’églises à Bangalore quelque chose comme 160. Il y a des églises de plus de 2000 même 4000 membres par exemples à Chennai. Ils ont beaucoup de services le dimanche évidemment.
L’évangélisation passe par les enfants. En effet quand un enfant est parrainé et qu’il va dans un home, il entend parler de Dieu et ensuite il retourne dans sa famille et parle de sa foi, il l’a met en action et les parents du coup sont touchés par la grâce de Dieu et ils croient à leur tour puis ils en parlent dans leur village et parfois tout le village croit. Ce qui fait quelques fois 400 personnes qui croient juste par la foi d’un enfant.
Il y a de nombreux témoignages de guérisons, de miracles extraordinaires que les indiens ont vécu et nous ont raconté. C’est une vraie leçon de foi pour nous.
Que peut-on faire pour les aider ?
C’est très simple, parrainer un enfant, c’est 25 euros par mois et c’est aussi un enfant qui bénéficie de l’accès à la nourriture, à l’enseignement à l’école, et à la parole de Dieu. Certains enfants sont orphelins, ou orphelins d’un des deux parents, ou simplement leurs parents sont trop pauvres pour s’occuper d’eux.
Etes-vous revenues avec des idées à nous soumettre ?
Oui, en effet nous avons apporté les photos des 160 enfants qui n’ont pas de parents mais qui sont tout de même accueillis dans les homes, c’est bien pour le moment mais la mission galère car c’est difficile de subvenir à leurs besoins sans cet argent qui manque. Donc notre but c’est de mobiliser les chrétiens de Normandie pour le parrainage ou des dons dirigés pour ces enfants. De plus quand vous parrainez un enfant, il y a un réel suivi, sa photo vous est envoyée, et vous pouvez lui écrire, lui envoyer des choses…
Nous aimerions faire une vente missionnaire avec des vêtements et objets indiens que nous vendrons à l’église et tout l’argent obtenu sera reversé aux enfants par l’intermédiaire de l’A.E.P.
Avez-vous une anecdote rigolote à nous apporter ?
Moi je parraine un garçon de 14 ans maintenant, ça fait deux ans que je le parraine à peu près. Je l’ai rencontré là-bas. Je suis allée dans son home une première fois et il n’était pas là. Il était au mariage de sa sœur aînée. J’étais déçue. Puis trois jours avant le départ il est venu en bus avec son wardom (celui qui s’occupe de son home) il a fait un long voyage pour venir jusqu’à Bangalore. C’était génial de le rencontrer, il était très timide au début en suite je lui ai donné des cours de français. A la fin de l’après-midi, il savait dire : herbe, oiseaux, croix, fleurs, jardin, soleil.
Qu’est-ce qui vous a le plus touché au travers de ce voyage ?
Les enfants, leur joie, leur histoire, leur pauvreté et surtout, surtout leur foi. Ils sont fervents dans la prière. Quand ils prient, ils prient et pas du bout des lèvres. On leur offre un stylo ou une casquette c’est comme si on venait d’offrir une Playstation 3 aux enfants de chez nous.
Avez-vous une image ou un moment gravé à tout jamais dans votre mémoire ?
Mon home favoris c’est à krishnagiri dans le tamil nadu. Ce home est super. On y est allé une fois et on est resté dormir et c’est la seule fois que nous avons dormi par terre. Ce home est beau, reposant, avec un paysage de montagne merveilleux. J’imagine le jardin d’Eden comme ça. La montagne se dit MALAI en tamil. J’ai rencontré des enfants formidables auxquels je me suis attachée. Un petit il était trop mignon il s’appel Saravanan, il était tout le temps avec moi si j’avais pu l’emmener je l’aurais pris, son visage est gravé dans ma tête.
Nous avons été sur les traces du tsunami. C’était à Karaikal c’est en bord de mer évidemment.
Nous avons pu constater les ravages et à notre surprise les reconstructions sont en cours, il y a des lotissements qui se construisent sur du dur. Ils nous ont montré un village qui a été dévasté avec plus de 3000 morts. Nous sommes allées dans les homes de karaikal où les enfants accueillis sont souvent ceux qui ont perdu leurs parents dans le tsunami. Il y a un home de garçons et un home de filles. Ils ont vécu des choses difficiles mais ils sont remplis de joie, ils sont vifs, joueurs. C’est impressionnant après ce qu’ils ont vécu.
Juste un grand merci à la famille solomon qui nous a accueillis comme des reines. La cuisine était fantastiquement bonne. Grand merci en particulier à Karoline la fille des Solomons qui nous a accompagné dans nos déplacements et a joué le rôle de traductrice de l’anglais au tamil ou de l’anglais au lambadi ou de l’anglais au Kannada, la langue dépendait des régions où l’on était. Merci à elle car elle nous a été d’un grand secours.
Sur ce, bon courage à tous et vive l’Inde. Je voudrais dire merci au Seigneur pour ce rêve qu’il m’a permis de réaliser donc thank you lord, en lambadi : dhanyavaadh yesu (= merci Jésus).
Kimshi Edwige ! Comment vas-tu après 3 semaines passées en Inde ?
Nous avons eu environ une dizaine d’heures d’avion. Et je vais bien, retour difficile cependant. A quand mon deuxième voyage là-bas ?
Quelles ont été tes impressions lorsque tu as vu les premières images de l’Inde ?
Au début j’étais très émerveillée juste parce que j’étais en Inde car les premières images étaient un aéroport typiquement européen, donc rien de très indien. Cependant rien que de me dire que je venais de poser mes pieds en Inde, c’était super.
Peux-tu nous décrire l’Inde, ses habitants, son climat, sa végétation, sa géographie, la vie là-bas...
Petit historique
L’Inde est un très grand pays d’Asie. C’est le deuxième pays le plus peuplé du monde. La capitale est New Delhi, située dans le nord de l’Inde tout en haut. c’est un pays anciennement colonisé par les anglais et qui a obtenu son indépendance le 15 août 1947, avec la participation de Gandhi, que les indiens affectionnent beaucoup. Il est présent dans les journaux, les statues, des rues, des édifices qui lui sont consacrés.
Les langues
La langue officielle est l’hindi mais j’ai pu remarquer que peu de gens dans le sud le parle mais ils le comprennent. L’anglais tient une place très importante car il permet de communiquer les uns avec les autres et surtout pour les affaires, le commerce...
Cependant chaque état dispose de son langage. Il y a 21 autres langues en Inde. J’ai pu en apprendre que 3 : le tamil qui est parlé dans l’état du Tamil Nadu c’est dans le sud de l’Inde.
Le kannada qui est parlé dans l’état du Karnataka où se situe Bangalore.
Le télougou qui est parlé dans l’état du Andhra Pardesh où se situe Hyderabad.
Nous sommes donc allées dans ces trois états.
La monnaie
La monnaie est le roupie, 1 euro c’est environ 60 roupies.
La religion
La religion principale est l’hindouisme, on a vu beaucoup de temples hindous, mais les musulmans sont aussi très présents. On a vu beaucoup de femmes voilées et les mosquées se construisent de plus en plus.
Le climat
Dans le sud de l’Inde, le climat est tropical donc il fait chaud cependant nous sommes arrivées en pleine période de moussons donc il faisait bon et limite froid les derniers jours avant le départ.
La végétation
Au niveau de la végétation c’est très varié, quand on change d’état on change de paysage. Dans les terres c’est montagneux, vallonné, c’est vert avec beaucoup de rizières. Le littoral est joli avec l’océan indien, plages de sable fin, une mer très puissante j’ai failli me faire emporter par les vagues. Peu d’indiens savent nager car il n’y a que peu de piscines et la mer est trop dangereuse pour y faire des longueurs.
Les habitants
La vie là-bas, les indiens sont des amours ils vivent cool, mais ils sont très travailleurs surtout les femmes.
Peux-tu nous expliquer quels ont été vos projets, vos buts pendant votre séjour en Inde.
Nous avons visité 12 homes d’enfants. Nous avons apporté des chants en anglais et en français par exemple « lis ta Bible prie chaque jour ». Ils nous ont chanté leurs chants dans leur langue. Nous leur avons distribué des cadeaux donc tous les stylos que l’on a reçu de l’église, on leur a donné des cahiers pour écrire et pour dessiner, des feutres et crayons de couleurs, des bananes, des gâteaux et des bonbons. Les bonbons c’est universel, tous les enfants aiment quelque soit leur nationalité.
J’ai beaucoup joué avec eux, je leur ai appris des jeux français comme 1, 2, 3, soleil que j’ai transformé en one, two, three, stop. Le béret, le facteur version simplifiée, dans ma maison sous terre pour les petites filles. C’est super drôle de les entendre chanter en français. Il y a des sons qu’ils n’arrivent pas à prononcer comme le U. Ils m’ont appris leurs jeux qu’ils appellent Cabadi, c’est amusant mais compliqué on a mis longtemps à comprendre. Maintenant c’est bon je suis une experte je peux enseigner ce jeux à qui le veux.
Qui est le pasteur qui s’occupe de ces missions ?
Sur place c’est le pasteur Solomon. Il n’y a pas de missionnaire autre qu’indien dans cette mission indienne.
En France c’est Mr Pelletier qui s’en occupe au travers du parrainage des enfants, de financer la construction d’un home. Il y a également Mr Paul Lecoseque qui succède à son père Clément, et certains homes sont financés par des chrétiens allemands également.
Peux-tu nous parler de nos frères et sœurs en Inde ?
Dans le sud de l’Inde en particulier dans les grandes villes les chrétiens ne sont pas du tout persécutés, on voit écrit « Jésus », « Jésus sauve », partout sur les voitures et les rikcho (=entre la voiture et la moto). Il y a beaucoup d’églises à Bangalore quelque chose comme 160. Il y a des églises de plus de 2000 même 4000 membres par exemples à Chennai. Ils ont beaucoup de services le dimanche évidemment.
L’évangélisation passe par les enfants. En effet quand un enfant est parrainé et qu’il va dans un home, il entend parler de Dieu et ensuite il retourne dans sa famille et parle de sa foi, il l’a met en action et les parents du coup sont touchés par la grâce de Dieu et ils croient à leur tour puis ils en parlent dans leur village et parfois tout le village croit. Ce qui fait quelques fois 400 personnes qui croient juste par la foi d’un enfant.
Il y a de nombreux témoignages de guérisons, de miracles extraordinaires que les indiens ont vécu et nous ont raconté. C’est une vraie leçon de foi pour nous.
Que peut-on faire pour les aider ?
C’est très simple, parrainer un enfant, c’est 25 euros par mois et c’est aussi un enfant qui bénéficie de l’accès à la nourriture, à l’enseignement à l’école, et à la parole de Dieu. Certains enfants sont orphelins, ou orphelins d’un des deux parents, ou simplement leurs parents sont trop pauvres pour s’occuper d’eux.
Etes-vous revenues avec des idées à nous soumettre ?
Oui, en effet nous avons apporté les photos des 160 enfants qui n’ont pas de parents mais qui sont tout de même accueillis dans les homes, c’est bien pour le moment mais la mission galère car c’est difficile de subvenir à leurs besoins sans cet argent qui manque. Donc notre but c’est de mobiliser les chrétiens de Normandie pour le parrainage ou des dons dirigés pour ces enfants. De plus quand vous parrainez un enfant, il y a un réel suivi, sa photo vous est envoyée, et vous pouvez lui écrire, lui envoyer des choses…
Nous aimerions faire une vente missionnaire avec des vêtements et objets indiens que nous vendrons à l’église et tout l’argent obtenu sera reversé aux enfants par l’intermédiaire de l’A.E.P.
Avez-vous une anecdote rigolote à nous apporter ?
Moi je parraine un garçon de 14 ans maintenant, ça fait deux ans que je le parraine à peu près. Je l’ai rencontré là-bas. Je suis allée dans son home une première fois et il n’était pas là. Il était au mariage de sa sœur aînée. J’étais déçue. Puis trois jours avant le départ il est venu en bus avec son wardom (celui qui s’occupe de son home) il a fait un long voyage pour venir jusqu’à Bangalore. C’était génial de le rencontrer, il était très timide au début en suite je lui ai donné des cours de français. A la fin de l’après-midi, il savait dire : herbe, oiseaux, croix, fleurs, jardin, soleil.
Qu’est-ce qui vous a le plus touché au travers de ce voyage ?
Les enfants, leur joie, leur histoire, leur pauvreté et surtout, surtout leur foi. Ils sont fervents dans la prière. Quand ils prient, ils prient et pas du bout des lèvres. On leur offre un stylo ou une casquette c’est comme si on venait d’offrir une Playstation 3 aux enfants de chez nous.
Avez-vous une image ou un moment gravé à tout jamais dans votre mémoire ?
Mon home favoris c’est à krishnagiri dans le tamil nadu. Ce home est super. On y est allé une fois et on est resté dormir et c’est la seule fois que nous avons dormi par terre. Ce home est beau, reposant, avec un paysage de montagne merveilleux. J’imagine le jardin d’Eden comme ça. La montagne se dit MALAI en tamil. J’ai rencontré des enfants formidables auxquels je me suis attachée. Un petit il était trop mignon il s’appel Saravanan, il était tout le temps avec moi si j’avais pu l’emmener je l’aurais pris, son visage est gravé dans ma tête.
Nous avons été sur les traces du tsunami. C’était à Karaikal c’est en bord de mer évidemment.
Nous avons pu constater les ravages et à notre surprise les reconstructions sont en cours, il y a des lotissements qui se construisent sur du dur. Ils nous ont montré un village qui a été dévasté avec plus de 3000 morts. Nous sommes allées dans les homes de karaikal où les enfants accueillis sont souvent ceux qui ont perdu leurs parents dans le tsunami. Il y a un home de garçons et un home de filles. Ils ont vécu des choses difficiles mais ils sont remplis de joie, ils sont vifs, joueurs. C’est impressionnant après ce qu’ils ont vécu.
Juste un grand merci à la famille solomon qui nous a accueillis comme des reines. La cuisine était fantastiquement bonne. Grand merci en particulier à Karoline la fille des Solomons qui nous a accompagné dans nos déplacements et a joué le rôle de traductrice de l’anglais au tamil ou de l’anglais au lambadi ou de l’anglais au Kannada, la langue dépendait des régions où l’on était. Merci à elle car elle nous a été d’un grand secours.
Sur ce, bon courage à tous et vive l’Inde. Je voudrais dire merci au Seigneur pour ce rêve qu’il m’a permis de réaliser donc thank you lord, en lambadi : dhanyavaadh yesu (= merci Jésus).