Histoire d'un cantique - Découverte
J'ai soif de ta présence: est un merveilleux cantique, mais connaissez-vous son histoire?
Ce cantique n'est pas né d'une découverte abstraite, mais de plusieurs expériences de foi profondément incarnées dans une réalité coriace. L’auteur des paroles françaises : Auguste GLARDON, missionnaires aux Indes, il y a plus d’un siècle, était aux prises avec des épreuves diverses : terrassé par les fièvres d’une maladie tropicale, la gorge desséchée et torturée, il crie à Dieu, dans la première strophe : J’ai soif de ta présence… dans ma faiblesse immense…
Imaginons les colères d’une mousson dévastatrice qui laisse sans abri des milliers de gens et de bêtes – et nous aurons l’arrière plan des jours d’orage, d’obscurité, d’effroi..
Des ennemis dans l’ombre rôdent autour de moi… voila qui fait sans doute allusion aux prédateurs (tigres du Bengale ou autres) tenus à faible distance par le feu du bivouac du missionnaire en tournée d’évangélisation dans la jungle indienne, et surtout aux rumeurs calomnieuses répandues sur son compte pour le discréditer dans son village.
Enfin et cette circonstance donne au cantique un relief saisissant – c’est après la mort de son petit garçon de 5 ans, Adrien, que l’auteur exprime dans la dernière strophe son deuil douloureux et sa foi en un Dieu incarné dans toute notre réalité humaine : ô Jésus, ta présence, c’est la vie et la paix, la paix dans la souffrance et la vie à jamais.
Oui, c’est bien chaque jour à chaque heure de notre existence terrestre qu’il a promis de demeurer près de nous.
Ce cantique n'est pas né d'une découverte abstraite, mais de plusieurs expériences de foi profondément incarnées dans une réalité coriace. L’auteur des paroles françaises : Auguste GLARDON, missionnaires aux Indes, il y a plus d’un siècle, était aux prises avec des épreuves diverses : terrassé par les fièvres d’une maladie tropicale, la gorge desséchée et torturée, il crie à Dieu, dans la première strophe : J’ai soif de ta présence… dans ma faiblesse immense…
Imaginons les colères d’une mousson dévastatrice qui laisse sans abri des milliers de gens et de bêtes – et nous aurons l’arrière plan des jours d’orage, d’obscurité, d’effroi..
Des ennemis dans l’ombre rôdent autour de moi… voila qui fait sans doute allusion aux prédateurs (tigres du Bengale ou autres) tenus à faible distance par le feu du bivouac du missionnaire en tournée d’évangélisation dans la jungle indienne, et surtout aux rumeurs calomnieuses répandues sur son compte pour le discréditer dans son village.
Enfin et cette circonstance donne au cantique un relief saisissant – c’est après la mort de son petit garçon de 5 ans, Adrien, que l’auteur exprime dans la dernière strophe son deuil douloureux et sa foi en un Dieu incarné dans toute notre réalité humaine : ô Jésus, ta présence, c’est la vie et la paix, la paix dans la souffrance et la vie à jamais.
Oui, c’est bien chaque jour à chaque heure de notre existence terrestre qu’il a promis de demeurer près de nous.