« …Ecoutez et comprenez… » - Matthieu 15.10 - Editorial
Il y a une différence importante, entre écouter et comprendre.
Le verbe grec traduit par « écouter » signifie entendre, apprendre, prêter l’oreille, écouter, obéir.
« Comprendre » signifie en autres rapprocher par la pensée, c’est-à-dire faire attention à, comprendre, se rendre compte de.
« Ecouter » fait référence à notre connaissance, notre savoir. « Comprendre » à notre capacité de réflexion, notre intelligence. Il y a donc une différence entre les deux.
Savoir ne peut pas nous rendre intelligent. Montrer notre connaissance sans intelligence ne peut qu’humilier, et non élever. La Bible nous dit que « la connaissance enfle d’orgueil » (1 Corinthiens 8.1 ; version Parole Vivante) : La connaissance sans intelligence peut donc avoir raison de nous, puisque l’orgueil précède la chute (Proverbes 16.18).
La connaissance est-elle donc à bannir ? Bien sûr que non ! Toute la difficulté n’est pas de savoir quelque chose, mais de le mettre en application… avec sagesse, intelligence et discernement. Or l’intelligence, celle qui élève l’homme et glorifie Dieu, ne peut être donnée à l’homme que par l’Esprit de Dieu : « Le souffle du Tout–Puissant donne l’intelligence » (Job 32.8). C’est en communion avec Dieu qu’on reçoit l’intelligence et la sagesse de Dieu. Ce qui nous permet de ne pas faire mauvais usage de ce que nous savons !
Dans la Parole de Dieu, nous voyons que « C’est lui (Dieu.)…qui donne la sagesse aux sages et la science à ceux qui ont de l’intelligence. » (Daniel 2.21) Avoir une réelle intelligence nous permet donc de savoir tout ce que Dieu veut nous apprendre.
Conclusion : La priorité est de recevoir l’intelligence de Dieu (et cela est donné à tous !) avant de recevoir toute connaissance. Cela nous permet de ne retenir que ce qui est bon (1 Thessaloniciens 5.21)
Connaître les plans de Dieu est une bonne chose. Mais refuser l’intelligence que Dieu donne dans le but d’y marcher est très inquiétant.
Retenons ceci : Quelqu’un montre son intelligence en ce qu’il est, pas en ce qu’il sait ; Il la montre en ce qu’il vit, pas en ce qu’il dit.
Le verbe grec traduit par « écouter » signifie entendre, apprendre, prêter l’oreille, écouter, obéir.
« Comprendre » signifie en autres rapprocher par la pensée, c’est-à-dire faire attention à, comprendre, se rendre compte de.
« Ecouter » fait référence à notre connaissance, notre savoir. « Comprendre » à notre capacité de réflexion, notre intelligence. Il y a donc une différence entre les deux.
Savoir ne peut pas nous rendre intelligent. Montrer notre connaissance sans intelligence ne peut qu’humilier, et non élever. La Bible nous dit que « la connaissance enfle d’orgueil » (1 Corinthiens 8.1 ; version Parole Vivante) : La connaissance sans intelligence peut donc avoir raison de nous, puisque l’orgueil précède la chute (Proverbes 16.18).
La connaissance est-elle donc à bannir ? Bien sûr que non ! Toute la difficulté n’est pas de savoir quelque chose, mais de le mettre en application… avec sagesse, intelligence et discernement. Or l’intelligence, celle qui élève l’homme et glorifie Dieu, ne peut être donnée à l’homme que par l’Esprit de Dieu : « Le souffle du Tout–Puissant donne l’intelligence » (Job 32.8). C’est en communion avec Dieu qu’on reçoit l’intelligence et la sagesse de Dieu. Ce qui nous permet de ne pas faire mauvais usage de ce que nous savons !
Dans la Parole de Dieu, nous voyons que « C’est lui (Dieu.)…qui donne la sagesse aux sages et la science à ceux qui ont de l’intelligence. » (Daniel 2.21) Avoir une réelle intelligence nous permet donc de savoir tout ce que Dieu veut nous apprendre.
Conclusion : La priorité est de recevoir l’intelligence de Dieu (et cela est donné à tous !) avant de recevoir toute connaissance. Cela nous permet de ne retenir que ce qui est bon (1 Thessaloniciens 5.21)
Connaître les plans de Dieu est une bonne chose. Mais refuser l’intelligence que Dieu donne dans le but d’y marcher est très inquiétant.
Retenons ceci : Quelqu’un montre son intelligence en ce qu’il est, pas en ce qu’il sait ; Il la montre en ce qu’il vit, pas en ce qu’il dit.