Du sein de l’aurore, ta jeunesse vient à toi comme une rosée - Parole d'évangile
Du sein de l’aurore, ta jeunesse vient à toi comme une rosée Livre des Psaumes, chapitre 110 verset 3.
Dans notre monde où l’on prône le jeunisme, où la vieillesse fait peur, où désespérément on recherche l’eau de jouvence qui empêcherait l’outrage du temps, où l’on se farde comme le faisait jadis, la reine Jézabel, où l’on se pouponne, se maquille à outrance pour repousser l’échéance fatale de la vieillesse. Effectivement, aujourd’hui, la vieillesse ne fait pas recette. Certes, ce n’est pas un péché de vouloir être présenté sous un beau jour, mais cela devient obsession lorsque l’on ne pense plus qu’à rester jeune coûte que coûte.
Mais il est une vieillesse qui, sans doute est plus terrible que la vieillesse physique, c’est la vieillesse du cœur. Ne voit-on pas de nos jours des jeunes qui sont déjà vieux ? Ayant goûté à presque tout, ils sont blasés, ils n’ont plus foi en rien. Comme l’a dit quelqu’un: l’incrédulité, c’est la vieillesse du cœur. Bernanos a pu écrire: l’évangile est toujours jeune, c’est vous qui êtes vieux ! Cette vieillesse s’empare de l’homme ou de la femme d’une manière sournoise (Osée7v9) à cause, en grande partie se son refus de croire l’évangile. L’homme fait primer le paraître à l’être, le temporel à l’éternel. Il s’enferme dans son incrédulité pensant ainsi justifier ses péchés et ses fautes.
Ami,vous qui êtes hanté par la peur de la vieillesse, sachez que pour l’envisager avec sérénité, il faut la joie que procure la foi, comme le disait St- Augustin.
Ami, vous qu’accable le doute, qui marchait dans la nuit, vous qui sentez le poids des ans venir trop pesant et qui arrivez à l’échéance fatale de la mort, regardez à Jésus qui est mort sur la croix pour vos péchés. Lui, le ressuscité qui vit au siècle des siècles et dont les jours n’ont point de fin. Il vous tend la main, Il se penche avec sollicitude sur votre vieillesse. Ecoutez–le vous dire à votre oreille rendue peut-être un peu sourde par le temps : Jusqu’à ta vieillesse, Je serai le même,jusqu’à ta vieillesse, je te soutiendrai ; je l’ai fait, et je veux encore te porter, te soutenir et te sauver. (Esaïe 46v4)
Ami, ouvrez votre cœur à la grâce de Dieu, expérimentez cette aurore de la jeunesse du cœur. Cette rosée s’élève vers Jésus, lui qui fait toutes choses nouvelles. (Apocalypse 21v5).
Dans notre monde où l’on prône le jeunisme, où la vieillesse fait peur, où désespérément on recherche l’eau de jouvence qui empêcherait l’outrage du temps, où l’on se farde comme le faisait jadis, la reine Jézabel, où l’on se pouponne, se maquille à outrance pour repousser l’échéance fatale de la vieillesse. Effectivement, aujourd’hui, la vieillesse ne fait pas recette. Certes, ce n’est pas un péché de vouloir être présenté sous un beau jour, mais cela devient obsession lorsque l’on ne pense plus qu’à rester jeune coûte que coûte.
Mais il est une vieillesse qui, sans doute est plus terrible que la vieillesse physique, c’est la vieillesse du cœur. Ne voit-on pas de nos jours des jeunes qui sont déjà vieux ? Ayant goûté à presque tout, ils sont blasés, ils n’ont plus foi en rien. Comme l’a dit quelqu’un: l’incrédulité, c’est la vieillesse du cœur. Bernanos a pu écrire: l’évangile est toujours jeune, c’est vous qui êtes vieux ! Cette vieillesse s’empare de l’homme ou de la femme d’une manière sournoise (Osée7v9) à cause, en grande partie se son refus de croire l’évangile. L’homme fait primer le paraître à l’être, le temporel à l’éternel. Il s’enferme dans son incrédulité pensant ainsi justifier ses péchés et ses fautes.
Ami,vous qui êtes hanté par la peur de la vieillesse, sachez que pour l’envisager avec sérénité, il faut la joie que procure la foi, comme le disait St- Augustin.
Ami, vous qu’accable le doute, qui marchait dans la nuit, vous qui sentez le poids des ans venir trop pesant et qui arrivez à l’échéance fatale de la mort, regardez à Jésus qui est mort sur la croix pour vos péchés. Lui, le ressuscité qui vit au siècle des siècles et dont les jours n’ont point de fin. Il vous tend la main, Il se penche avec sollicitude sur votre vieillesse. Ecoutez–le vous dire à votre oreille rendue peut-être un peu sourde par le temps : Jusqu’à ta vieillesse, Je serai le même,jusqu’à ta vieillesse, je te soutiendrai ; je l’ai fait, et je veux encore te porter, te soutenir et te sauver. (Esaïe 46v4)
Ami, ouvrez votre cœur à la grâce de Dieu, expérimentez cette aurore de la jeunesse du cœur. Cette rosée s’élève vers Jésus, lui qui fait toutes choses nouvelles. (Apocalypse 21v5).