Devinette : d’où est tiré le texte ci-dessous ? - Anecdote
« Dieu de clémence et de justice
Vois nos tyrans, juge nos coeurs.
Que ta bonté nous soit propice.
Défends-nous de ces oppresseurs
Défends-nous de ces oppresseurs...
Tu règnes au ciel et sur terre
Et devant toi, tout doit fléchir,
De ton bras, viens nous soutenir.
Toi, grand Dieu, maître du tonnerre... »
Ce texte nous paraît sortir tout droit d’un psaume. Mais il n’en est rien. Un succès chrétien actuel ? Non plus. Un vieux cantique tiré d’un recueil poussiéreux ? Pas d’avantage. C’est le 8ème couplet de notre hymne national « la Marseillaise » ! Le connaissiez-vous ? Peut-être pas. Et pour cause, dans un état laïc, on ne peut enseigner de telles choses à l’école. Mais, étrangement, c’est Servan, ministre de la guerre en 1792, qui a supprimé ce couplet, bien avant la séparation de l’Eglise et de l’Etat…
On ne peut comprendre comment un tel couplet aurait pu saper le moral des troupes !
Vois nos tyrans, juge nos coeurs.
Que ta bonté nous soit propice.
Défends-nous de ces oppresseurs
Défends-nous de ces oppresseurs...
Tu règnes au ciel et sur terre
Et devant toi, tout doit fléchir,
De ton bras, viens nous soutenir.
Toi, grand Dieu, maître du tonnerre... »
Ce texte nous paraît sortir tout droit d’un psaume. Mais il n’en est rien. Un succès chrétien actuel ? Non plus. Un vieux cantique tiré d’un recueil poussiéreux ? Pas d’avantage. C’est le 8ème couplet de notre hymne national « la Marseillaise » ! Le connaissiez-vous ? Peut-être pas. Et pour cause, dans un état laïc, on ne peut enseigner de telles choses à l’école. Mais, étrangement, c’est Servan, ministre de la guerre en 1792, qui a supprimé ce couplet, bien avant la séparation de l’Eglise et de l’Etat…
On ne peut comprendre comment un tel couplet aurait pu saper le moral des troupes !