Demain, c’est la fête des mères ! - Editorial
Je ne sais pas si vous êtes pour ou contre la fête des mères, mais je vous le rappelle, c’est demain, dimanche 3 juin 2007.
Pour ma part, je ne lui téléphonerai pas pour lui dire : bonne fête, maman. Non, elle est partie, voilà 8 ans près de son Sauveur, Jésus-Christ. Mais pour beaucoup, ce sera l’effervescence, chez les enfants, que va-t-on payer à Sa Maman, un bouquet de roses, une belle plante, une boîte de chocolats, une montre ? Est-ce que cela lui fera plaisir ? Les petits bout’ choux offriront un cadre en coquillages ou un beau poème à la plus gentille des mamans, et cela fera autant d’effet sinon plus, que le beau cadeau qui a coûté des cents et des milles.
Une mère, on en a qu’une, et c’est précieux, c’est bien de lui dire: Je t'aime maman Laissez–moi vous raconter cette histoire plutôt insolite:
Peu d’instants avant la bataille navale de Manille, au moment où le commandant de sa voix d’autorité faisait retentir ces mots « Prêt au combat » un des mousses du vaisseau amiral laissa tomber sa veste à l’eau. S’élancer pour la repêcher fut l’affaire d’un instant : mais on barra le passage au jeune homme. « Défendu ! » lui cria-t-on. Il courut alors à l’autre bord, plongea sous le navire, et revint à la surface avec le vêtement. On le mit au fer pour désobéissance, et après la bataille, l’amiral Dewey eut à se prononcer sur le sort du jeune mousse. Il s’agissait de plusieurs années de prison. Le commandant demanda au coupable : «Qu’est-ce qui t’a déterminé à désobéir dans un moment aussi solennel ? Le mousse se tut, et glissant sa main dans la poche de sa veste, il en sortit une photographie qu’il tendit à son juge.
« Commandant, pour rien au monde, je n’aurais voulu perdre le portrait de ma mère ! Les larmes aux yeux, l’Amiral embrassa le jeune marin et se tournant vers ses assistants, il leur dit : « Garçons, ceux qui risquent leur vie pour le portrait de leur mère savent se donner pour la patrie » Et il prononça la mise en liberté du petit mousse.
Quel exemple particulier, dans une période où les bonnes habitudes sont galvaudées, mettons en pratique ce verset de l’épître de Paul aux Ephésiens : Honore ton Père et ta Mère (c’est le premier commandement avec une promesse) afin que tu sois heureux et que tu vives longtemps sur la terre.
Au fait, bonne fête à toutes les mamans
Pour ma part, je ne lui téléphonerai pas pour lui dire : bonne fête, maman. Non, elle est partie, voilà 8 ans près de son Sauveur, Jésus-Christ. Mais pour beaucoup, ce sera l’effervescence, chez les enfants, que va-t-on payer à Sa Maman, un bouquet de roses, une belle plante, une boîte de chocolats, une montre ? Est-ce que cela lui fera plaisir ? Les petits bout’ choux offriront un cadre en coquillages ou un beau poème à la plus gentille des mamans, et cela fera autant d’effet sinon plus, que le beau cadeau qui a coûté des cents et des milles.
Une mère, on en a qu’une, et c’est précieux, c’est bien de lui dire: Je t'aime maman Laissez–moi vous raconter cette histoire plutôt insolite:
Peu d’instants avant la bataille navale de Manille, au moment où le commandant de sa voix d’autorité faisait retentir ces mots « Prêt au combat » un des mousses du vaisseau amiral laissa tomber sa veste à l’eau. S’élancer pour la repêcher fut l’affaire d’un instant : mais on barra le passage au jeune homme. « Défendu ! » lui cria-t-on. Il courut alors à l’autre bord, plongea sous le navire, et revint à la surface avec le vêtement. On le mit au fer pour désobéissance, et après la bataille, l’amiral Dewey eut à se prononcer sur le sort du jeune mousse. Il s’agissait de plusieurs années de prison. Le commandant demanda au coupable : «Qu’est-ce qui t’a déterminé à désobéir dans un moment aussi solennel ? Le mousse se tut, et glissant sa main dans la poche de sa veste, il en sortit une photographie qu’il tendit à son juge.
« Commandant, pour rien au monde, je n’aurais voulu perdre le portrait de ma mère ! Les larmes aux yeux, l’Amiral embrassa le jeune marin et se tournant vers ses assistants, il leur dit : « Garçons, ceux qui risquent leur vie pour le portrait de leur mère savent se donner pour la patrie » Et il prononça la mise en liberté du petit mousse.
Quel exemple particulier, dans une période où les bonnes habitudes sont galvaudées, mettons en pratique ce verset de l’épître de Paul aux Ephésiens : Honore ton Père et ta Mère (c’est le premier commandement avec une promesse) afin que tu sois heureux et que tu vives longtemps sur la terre.
Au fait, bonne fête à toutes les mamans