« Déchargez–vous sur lui de tous vos soucis.» - Parole d'évangile
« Déchargez–vous sur lui de tous vos soucis, car lui–même prend soin de vous.» 1 Pierre 5.7
« Souci », « préoccupation », « inquiétude », « anxiété »… bonjour les nuits blanches ! Elles te collent tellement à la peau qu’elles ont pris les commandes de ta vie. Tu ne dors plus, ne ris plus, n’aime plus ; plus d’appétit parce que plus d’espoir en l’avenir. Tu n’es plus comme avant : tes sentiments et tes émotions le révèlent. Tu existes, oui... Mais tu ne vis pas !
Pèse ton fardeau. Te rends-tu compte qu’il t’écrase et te détruit ? Penses-tu résister encore longtemps… avant qu’il n’ait raison de toi, et qu’il ne t’abatte définitivement ? Tu dois réagir !
Refuse ce fardeau ! Refuse l’esclavage qu’il t’impose. Ne te résigne pas à vivre comme cela. Ne le considère plus comme faisant partie de toi : tu n’as plus à le porter. Renonce à lutter contre lui ! De toute façon, c’est peine perdue.
Décharge-t-en plutôt sur Jésus. Si Dieu te demande de le faire, c’est que tu peux le faire, et que Jésus veut prendre ton fardeau. De son côté, cela est déjà accompli, en effet, sur la croix du calvaire, ce sont tes souffrances que Jésus a portées, c’est de tes douleurs qu‘il s’est chargé (Esaïe 53.4).
Mais ton fardeau le plus lourd, celui dont tu dois vraiment te soucier, c’est ton péché. C’est là (Psaumes 107.17) qu’est le vrai problème ! Heureusement pour toi, sur la croix, Jésus a aussi porté tes péchés (1 Jean 2.2). Si ton péché était ôté, tu ne vivrais plus dans l’angoisse et la souffrance. Alors, décharge-t-en sans tarder.
Conclusion : confesse à Dieu ton péché sous lequel tu croules. Repens-t-en et rejette-le, décharge-t-en sur Jésus. Confesse qu’à la croix, Jésus s’en est déjà chargé et a payé pour toi, afin que tu en sois libéré. Et il prendra soin de toi.
Si tu as encore un peu de force pour protester contre ce principe, tu en as encore suffisamment pour te décharger de ton fardeau ! Alors, n’attends plus…
« Souci », « préoccupation », « inquiétude », « anxiété »… bonjour les nuits blanches ! Elles te collent tellement à la peau qu’elles ont pris les commandes de ta vie. Tu ne dors plus, ne ris plus, n’aime plus ; plus d’appétit parce que plus d’espoir en l’avenir. Tu n’es plus comme avant : tes sentiments et tes émotions le révèlent. Tu existes, oui... Mais tu ne vis pas !
Pèse ton fardeau. Te rends-tu compte qu’il t’écrase et te détruit ? Penses-tu résister encore longtemps… avant qu’il n’ait raison de toi, et qu’il ne t’abatte définitivement ? Tu dois réagir !
Refuse ce fardeau ! Refuse l’esclavage qu’il t’impose. Ne te résigne pas à vivre comme cela. Ne le considère plus comme faisant partie de toi : tu n’as plus à le porter. Renonce à lutter contre lui ! De toute façon, c’est peine perdue.
Décharge-t-en plutôt sur Jésus. Si Dieu te demande de le faire, c’est que tu peux le faire, et que Jésus veut prendre ton fardeau. De son côté, cela est déjà accompli, en effet, sur la croix du calvaire, ce sont tes souffrances que Jésus a portées, c’est de tes douleurs qu‘il s’est chargé (Esaïe 53.4).
Mais ton fardeau le plus lourd, celui dont tu dois vraiment te soucier, c’est ton péché. C’est là (Psaumes 107.17) qu’est le vrai problème ! Heureusement pour toi, sur la croix, Jésus a aussi porté tes péchés (1 Jean 2.2). Si ton péché était ôté, tu ne vivrais plus dans l’angoisse et la souffrance. Alors, décharge-t-en sans tarder.
Conclusion : confesse à Dieu ton péché sous lequel tu croules. Repens-t-en et rejette-le, décharge-t-en sur Jésus. Confesse qu’à la croix, Jésus s’en est déjà chargé et a payé pour toi, afin que tu en sois libéré. Et il prendra soin de toi.
Si tu as encore un peu de force pour protester contre ce principe, tu en as encore suffisamment pour te décharger de ton fardeau ! Alors, n’attends plus…