Battre des records - Editorial
Chaque année paraît un livre qui relate des records homologués dans les domaines les plus divers et les plus étranges. Il remporte toujours le même succès : on veut passionnément être le premier ou le seul de sa catégorie.
Cela conduit souvent à des catastrophes car pour être le premier, il faut prendre des risques.
Un journal rapportait, il y a quelques années, le drame dont a été victime Jessica, une petite Américaine de 7 ans : ses parents voulaient qu’elle devienne la plus jeune pilote à traverser les Etats-Unis aux commandes d’un avion. Elle s’est écrasée au sol avec son père et son instructeur.
Il y a un peu plus longtemps, un jeune couple et leur bébé ont mobilisé les services de secours en Haute Montagne parce qu’ils étaient bloqués sur une pente du Mont Blanc : leur enfant était en hypothermie. Ils ont reconnu qu’ils voulaient lui faire battre le record du plus jeune alpiniste sur le plus haut sommet de l’Europe.
Dans le domaine sportif, combien de records vont être battus dans les prochaines semaines, lors des JO de Pékin ? Nous n’en savons rien, mais ce qui est certain, c’est que pour être les meilleurs, beaucoup d’athlètes mettent tout en œuvre y compris un entraînement forcené et parfois des moyens illégaux comme le dopage.
Pourtant, le chrétien est aussi invité à faire comme celui qui veut se classer premier dans une course (lecture 1 Cor.9 v24 à 27). Le moyen pour y parvenir comporte également un régime qui est indiqué dans cette parole de Jésus : «Quiconque voudra devenir grand parmi vous, sera votre serviteur et quiconque d’entre vous voudra devenir le premier, sera le serviteur de tous » (Marc 10v43 et 44).
Nous avons un modèle devant nous, JESUS qui « s’est anéanti lui-même prenant la forme d’esclave » Jésus qui « s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort , à la mort de la croix » (Philippiens 2v7 et8). Il sera reconnu par tous comme le premier, incomparablement au-dessus de tous (Philippiens 2v9 à 11).
Alors, courons, droit au but pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ (Philippiens 3v14).
Cela conduit souvent à des catastrophes car pour être le premier, il faut prendre des risques.
Un journal rapportait, il y a quelques années, le drame dont a été victime Jessica, une petite Américaine de 7 ans : ses parents voulaient qu’elle devienne la plus jeune pilote à traverser les Etats-Unis aux commandes d’un avion. Elle s’est écrasée au sol avec son père et son instructeur.
Il y a un peu plus longtemps, un jeune couple et leur bébé ont mobilisé les services de secours en Haute Montagne parce qu’ils étaient bloqués sur une pente du Mont Blanc : leur enfant était en hypothermie. Ils ont reconnu qu’ils voulaient lui faire battre le record du plus jeune alpiniste sur le plus haut sommet de l’Europe.
Dans le domaine sportif, combien de records vont être battus dans les prochaines semaines, lors des JO de Pékin ? Nous n’en savons rien, mais ce qui est certain, c’est que pour être les meilleurs, beaucoup d’athlètes mettent tout en œuvre y compris un entraînement forcené et parfois des moyens illégaux comme le dopage.
Pourtant, le chrétien est aussi invité à faire comme celui qui veut se classer premier dans une course (lecture 1 Cor.9 v24 à 27). Le moyen pour y parvenir comporte également un régime qui est indiqué dans cette parole de Jésus : «Quiconque voudra devenir grand parmi vous, sera votre serviteur et quiconque d’entre vous voudra devenir le premier, sera le serviteur de tous » (Marc 10v43 et 44).
Nous avons un modèle devant nous, JESUS qui « s’est anéanti lui-même prenant la forme d’esclave » Jésus qui « s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort , à la mort de la croix » (Philippiens 2v7 et8). Il sera reconnu par tous comme le premier, incomparablement au-dessus de tous (Philippiens 2v9 à 11).
Alors, courons, droit au but pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ (Philippiens 3v14).