A contre-courant - Editorial
Dieu aime celui qui donne joyeusement. (2 corinthiens 9v7)
Il nous faut secourir les faibles, et nous rappeler des paroles du Seigneur Jésus, qui lui-même a dit : il y a plus de bonheur de donner que de recevoir. (Actes 20v35)
Donner joyeusement, c’est vite lu et vite oublié, car cela touche une corde très sensible en moi, celle de l’instinct de possession et comporte un risque, celui de m’appauvrir.
Pourtant j’ai bien lu : Dieu aime celui qui donne joyeusement. Donner passe encore, mais joyeusement, c’est quelque chose qui me dépasse, qui va au-delà de mes possibilités.
En effet, dans notre civilisation occidentale, tout s’achète, tout se vend, rien n’est donné. Un monde où chacun désire recevoir d’avantage et accumuler ou dépenser pour sa propre satisfaction, un monde où triomphe l’égoïsme avec son cortège d’injustices et de rancoeurs. Dois-je m’en étonner… quand je constate combien il m’est pénible de donner, difficile de le faire joyeusement ?
Voilà bien un domaine où s’applique l’exhortation : Soyez transformés par le renouvellement de votre entendement (Romains 12v2). Mon ancienne manière de voir doit changer, l’ordre de mes priorités. Le Seigneur m’aide à le réaliser si je prends à cœur d’obéir à sa parole.
Je réalise qu’il est plus heureux de donner que de recevoir. En apprenant à donner, je détourne mes regards de moi-même pour les poser sur les besoins de mon prochain et je jouis de l’approbation de mon Maître qui lui, à donner sa vie pour moi.
Si cela concerne nos biens matériels, la pensée de ces citations bibliques peuvent être étendue à tout ce que nous possédons, ou plutôt à tout ce qui nous est confié : notre temps, notre capacité d’aimer, notre connaissance du Seigneur. Et ne croyons pas que nous nous appauvrissons en procédant ainsi. Non seulement nous sommes heureux en obéissant au commandement du Seigneur en allant à contre-courant des habitudes de ce monde, mais aussi Dieu nous rend au centuple ce que nous donnons par amour pour les autres.
Donner joyeusement, c’est vite lu et vite oublié, car cela touche une corde très sensible en moi, celle de l’instinct de possession et comporte un risque, celui de m’appauvrir.
Pourtant j’ai bien lu : Dieu aime celui qui donne joyeusement. Donner passe encore, mais joyeusement, c’est quelque chose qui me dépasse, qui va au-delà de mes possibilités.
En effet, dans notre civilisation occidentale, tout s’achète, tout se vend, rien n’est donné. Un monde où chacun désire recevoir d’avantage et accumuler ou dépenser pour sa propre satisfaction, un monde où triomphe l’égoïsme avec son cortège d’injustices et de rancoeurs. Dois-je m’en étonner… quand je constate combien il m’est pénible de donner, difficile de le faire joyeusement ?
Voilà bien un domaine où s’applique l’exhortation : Soyez transformés par le renouvellement de votre entendement (Romains 12v2). Mon ancienne manière de voir doit changer, l’ordre de mes priorités. Le Seigneur m’aide à le réaliser si je prends à cœur d’obéir à sa parole.
Je réalise qu’il est plus heureux de donner que de recevoir. En apprenant à donner, je détourne mes regards de moi-même pour les poser sur les besoins de mon prochain et je jouis de l’approbation de mon Maître qui lui, à donner sa vie pour moi.
Si cela concerne nos biens matériels, la pensée de ces citations bibliques peuvent être étendue à tout ce que nous possédons, ou plutôt à tout ce qui nous est confié : notre temps, notre capacité d’aimer, notre connaissance du Seigneur. Et ne croyons pas que nous nous appauvrissons en procédant ainsi. Non seulement nous sommes heureux en obéissant au commandement du Seigneur en allant à contre-courant des habitudes de ce monde, mais aussi Dieu nous rend au centuple ce que nous donnons par amour pour les autres.