Le baptême : Qu'est-ce que c'est ? (1/3) - Editorial
Le baptême est un moment très important dans la vie du croyant qui veut obéir à Christ, et donc à la Parole de Dieu, la Bible. Pour ne pas se perdre en conjectures et en avis très souvent peu étayés, ayons l'honnêteté de lire et d'accepter ce que la Bible nous enseigne sur le sujet. Ceci nous est salutaire.
Voici ce qu'ordonne Jésus : « Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint–Esprit, et enseignez–leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. » Matthieu 28.19
Les dictionnaires que nous consultons couramment donnent de « baptiser » une définition erronée. Le mot grec utilisé dans ce texte est « baptizo ». Il signifie plonger, immerger, submerger (Dict. « le Grand Bailly » - Ed Hachette - p.347a) ; c'est-à-dire plonger entièrement et être recouvert, comme peut l'être, par exemple, un sous-marin.
« Baptiser par immersion » est donc un pléonasme (Ex : « monter en haut »)... « Immerger par immersion » ! Quelle expression maladroite. La précision « par immersion » indique d'autres formes d'administration du baptême, non conformes, et à la définition donnée ci-dessus, et à l'avis de l'Ecriture. En effet, l'apôtre Pierre ne déclare-t-il pas (1 Pierre 3.21) que le déluge, du temps de Noé était une figure du baptême ? Or, comme chacun le sait, les eaux du déluge ont entièrement recouvert la terre durant plusieurs semaines.
« Baptiser par aspersion » est absurde (Ex : « rentrer dehors »). Il s'agit d'une « immersion par aspersion ». Non seulement cette expression est étrange, mais en plus non biblique : le baptême est une immersion et rien d'autre. La définition du mot donnant la forme unique dans laquelle il doit être exécuté, nul n'a le droit d'obéir à l'ordre de Jésus à sa convenance : Jésus a ordonné d' « immerger ».
Du texte cité plus haut, nous apprenons que pour pouvoir être baptisé, il faut être au préalable un disciple de Jésus, c'est-à-dire l'avoir accepté pour Maître. Sans quoi un baptême n'a aucune valeur devant Dieu. Nous pouvons aussi lire que le baptême doit être suivi de l'obéissance dans l'enseignement de Christ.
Jésus dit aussi : « Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. » Marc 16.15-16
Foi et baptême sont intimement liés mais dans un ordre bien précis : la foi d'abord, le baptême ensuite. La Bible nous montre que c'est par la foi que nous sommes sauvés (1 Pierre 1.9), sans les œuvres (Ephésiens 2.8-9). Le baptême seul n'a donc par lui-même aucune vertu salvatrice.
En effet, Jésus n'a jamais assorti le baptême d'une puissance mystérieuse qui pourrait sceller l'éternité de quiconque. Le baptême selon la Bible n'est pas un rituel magique, motivé par la superstition, et accompli afin de s'attirer quelque faveur divine. Il est est un acte d'obéissance motivé par le salut, obtenu au préalable par la foi en Jésus Christ (Actes 16.31).
Celui qui a été baptisé, sans pour autant avoir cru, reste sous la condamnation, à cause de son péché, et à cause de son incrédulité, face au message du salut en Jésus Christ... Encore faut-il qu'on la lui ait annoncée dans toute la vérité, pour qu'il croit et soit sauvé. (Romains 10.17).
A suivre : « Le baptême, une question de fond : pourquoi se faire baptiser ? »
Voici ce qu'ordonne Jésus : « Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint–Esprit, et enseignez–leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. » Matthieu 28.19
Les dictionnaires que nous consultons couramment donnent de « baptiser » une définition erronée. Le mot grec utilisé dans ce texte est « baptizo ». Il signifie plonger, immerger, submerger (Dict. « le Grand Bailly » - Ed Hachette - p.347a) ; c'est-à-dire plonger entièrement et être recouvert, comme peut l'être, par exemple, un sous-marin.
« Baptiser par immersion » est donc un pléonasme (Ex : « monter en haut »)... « Immerger par immersion » ! Quelle expression maladroite. La précision « par immersion » indique d'autres formes d'administration du baptême, non conformes, et à la définition donnée ci-dessus, et à l'avis de l'Ecriture. En effet, l'apôtre Pierre ne déclare-t-il pas (1 Pierre 3.21) que le déluge, du temps de Noé était une figure du baptême ? Or, comme chacun le sait, les eaux du déluge ont entièrement recouvert la terre durant plusieurs semaines.
« Baptiser par aspersion » est absurde (Ex : « rentrer dehors »). Il s'agit d'une « immersion par aspersion ». Non seulement cette expression est étrange, mais en plus non biblique : le baptême est une immersion et rien d'autre. La définition du mot donnant la forme unique dans laquelle il doit être exécuté, nul n'a le droit d'obéir à l'ordre de Jésus à sa convenance : Jésus a ordonné d' « immerger ».
Du texte cité plus haut, nous apprenons que pour pouvoir être baptisé, il faut être au préalable un disciple de Jésus, c'est-à-dire l'avoir accepté pour Maître. Sans quoi un baptême n'a aucune valeur devant Dieu. Nous pouvons aussi lire que le baptême doit être suivi de l'obéissance dans l'enseignement de Christ.
Jésus dit aussi : « Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné. » Marc 16.15-16
Foi et baptême sont intimement liés mais dans un ordre bien précis : la foi d'abord, le baptême ensuite. La Bible nous montre que c'est par la foi que nous sommes sauvés (1 Pierre 1.9), sans les œuvres (Ephésiens 2.8-9). Le baptême seul n'a donc par lui-même aucune vertu salvatrice.
En effet, Jésus n'a jamais assorti le baptême d'une puissance mystérieuse qui pourrait sceller l'éternité de quiconque. Le baptême selon la Bible n'est pas un rituel magique, motivé par la superstition, et accompli afin de s'attirer quelque faveur divine. Il est est un acte d'obéissance motivé par le salut, obtenu au préalable par la foi en Jésus Christ (Actes 16.31).
Celui qui a été baptisé, sans pour autant avoir cru, reste sous la condamnation, à cause de son péché, et à cause de son incrédulité, face au message du salut en Jésus Christ... Encore faut-il qu'on la lui ait annoncée dans toute la vérité, pour qu'il croit et soit sauvé. (Romains 10.17).
A suivre : « Le baptême, une question de fond : pourquoi se faire baptiser ? »